Dans cet article, nous allons plonger dans le monde fascinant de Roscoe Henry Hillenkoetter, explorer ses nombreuses facettes et découvrir tout ce qu'il y a à savoir sur ce sujet passionnant. De ses origines à sa pertinence aujourd’hui, en passant par ses multiples applications et son impact dans différents domaines. Nous nous plongerons dans un voyage de découverte qui nous amènera à mieux comprendre Roscoe Henry Hillenkoetter et à apprécier toute la richesse que ce sujet a à nous offrir. Alors préparez-vous à entrer dans un monde de connaissances et d’inspiration qui vous surprendra.
Directeur central du renseignement | |
---|---|
- | |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Roscoe Henry Hillenkoetter |
Nationalité | |
Domicile | |
Formation | |
Activités |
A travaillé pour | |
---|---|
Parti politique | |
Membre de | |
Arme | |
Grade militaire | |
Conflits |
Roscoe Henry Hillenkoetter (né le à Saint-Louis (Missouri) et décédé le à New York) est un officier supérieur de la Marine américaine, l'US Navy. Il fut le premier directeur de la CIA.
Après de nombreuses missions en France, il est l'officier responsable du renseignement, sous les ordres du commandant en chef de la zone de l’océan Pacifique, l’amiral Nimitz. Contre-amiral en , Harry Truman en fait le premier directeur de la Central Intelligence Agency (CIA), poste qu'il occupe du au .
Il quitte l'US Navy en 1957, pour devenir un membre actif du NICAP, association ufologique fondée par d’anciens officiers, et dont il est membre du conseil d’administration. Selon Pierre Guérin, ce n'est que pour être l’informateur du pouvoir concernant les investigations des enquêteurs-ufologues[1].
« Il semble qu’Hillenkoetter veilla principalement à discréditer dans l’esprit de Keyhoe les cas d’atterrissages et de crashs d’ovnis, mais il encouragea en revanche la collecte des informations d’ovnis en vol. Puis il ne put faire autrement que de démissionner lorsque Keyhoe le pressa de cautionner une conférence de presse au cours de laquelle il était prévu que des pilotes militaires présentent publiquement les détails probants d’observations d’ovnis qu’ils avaient faites en plein vol, ce qu’il refusa. Mais, avant cette démission, on imagine le nombre d’observations enquêtées à la source par le NICAP, qui purent arriver le plus facilement du monde à la connaissance des services de renseignements américains avant même que d’être rendues publiques ! »