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Roger Decock, né le à Izegem et mort le à Aarsele[1], est un coureur cycliste belge. Professionnel de 1949 à 1961, il a notamment remporté Paris-Nice en 1951 et le Tour des Flandres en 1952.
Roger Decock passe professionnel en aout 1949 à 21 ans. Il obtient ses plus grands succès dans la première partie de sa carrière. Il remporte le classement général de Paris-Nice en 1951, puis s'impose sur le Tour des Flandres 1952. Cette édition du Tour des Flandres est disputée sous un très mauvais temps, avec du vent, de la grêle, de la pluie et de la neige[2]. Il s'adjuge également le Grand Prix Briek Schotte en 1949, le Championnat des Flandres en 1951 et le Prix national de clôture en 1957. Il participe au Tour de France à deux reprises, il termine 17e en 1951 et 38e en 1952. Decock compte aussi de nombreux succès dans son pays d'origine.
Lors du Tour de France 1951, il est témoin de l'accident du maillot jaune Wim van Est tombé dans le ravin dans la descente du Col d'Aubisque. Il est le seul à s'arrêter, à informer les services d'urgence et à les attendre, ce qui lui fait perdre 25 minutes[3].
Après la fin de sa carrière cycliste, il dirige le café De Wildeman avec sa femme à Aarsele. En 2002, 50 ans après sa victoire sur le Tour des Flandres, il est particulièrement célébré à l'occasion du passage à Tielt, notamment avec une pièce intitulée « Cockske wint een brokske » (Cockske gagne un morceau en néerlandais)[4]. En 2011, sa biographie « Roger Decock – Sluw en Slim » est publiée. Elle est écrite par Guido Van Cauwenberghe et sa petite-fille Véronique Coene, qui était également active en tant que cycliste[5].
Avant sa mort, il était à 93 ans le doyen des vainqueurs de Paris-Nice et du Tour des Flandres[2].
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