Dans cet article, nous allons approfondir le sujet de Ressource renouvelable, un aspect fondamental qui a gagné en importance ces dernières années. Ressource renouvelable est un sujet qui impacte significativement différents domaines, de la sphère personnelle à la sphère professionnelle. Dans cette optique, nous analyserons les différentes dimensions couvertes par Ressource renouvelable, ainsi que son influence sur la société actuelle. De même, nous approfondirons les aspects spécifiques liés à Ressource renouvelable, dans le but de fournir une perspective complète et mise à jour sur ce sujet. De plus, nous explorerons différentes perspectives et approches sur Ressource renouvelable, afin de proposer une vision globale et enrichissante. Sans aucun doute, Ressource renouvelable est un sujet d’une grande importance qui mérite d’être abordé avec attention et en profondeur, c’est pourquoi nous aborderons ses différents aspects tout au long de cet article.
Une ressource renouvelable est une ressource naturelle dont le stock peut se reconstituer sur une période courte à l'échelle humaine de temps, en se renouvelant au moins aussi vite qu'elle est consommée.
C'est le cas par exemple de diverses ressources animales d'élevage ou végétales cultivées (biomasse), l'eau d'une nappe d'eau souterraine dont le niveau reste stable, de l'énergie éolienne et de l'énergie solaire. En ce qui concerne les ressources vivantes naturelles (gibiers, poissons, mais aussi humus, forêts primaires…), elles ne sont considérées comme renouvelables que si le taux de régénération est supérieur ou égal au taux d' exploitation, par la chasse ou la pêche.
Une ressource renouvelable s'oppose à une ressource non renouvelable.
Lorsque l'on parle de ressource renouvelable, on pense souvent d'abord aux énergies renouvelables, mais c'est une dimension prise en compte dans les études d'impacts, les éco-bilans (analyse du cycle de vie), le bilan carbone, la notion d'empreinte écologique, ou parfois dans l'affichage environnemental.
Les ressources renouvelables utilisées dans un processus de production, comme les autres ressources naturelles, sont considérées comme des consommations intermédiaires. Leur valeur ne prend en compte que le travail et le capital qui sont investis dans leur exploitation et pas la diminution du capital naturel associé. C'est de cette façon que l'on comptabilise les ressources renouvelables dans la comptabilité nationale.
En 2017, en France, un «Plan de programmation des ressources» (aussi dit « Plan Ressources»), quinquennal, prévu par la loi TECV (Loi de transition énergétique pour la croissance verte ; article 69)[1] a été publié et mis en consultation. Il vise à faire appréhender les enjeux de la dépendance de l'économie française aux ressources naturelles et produire des recommandations pour la réduire[1]. Il doit notamment à « dégager les actions nécessaires pour protéger l’économie française » face à un risque de pénurie de certaines ressources nécessaires ou vitales pour la vie (eau, air, sol, aliments...) et l'économie (matières premières). Il vise à « découpler » la croissance économique de la consommation de ressources, pour prévenir les conflits pour les matières (premières, primaires et secondaires), par un usage plus efficace et « circulaire » et par le report vers des ressources alternatives, notamment pour les matières stratégiques (en volume ou en valeur)[1].