Dans cet article, nous souhaitons aborder le sujet de Repretel, qui a fait l'objet de nombreuses études, débats et controverses à travers l'histoire. Repretel a eu un impact significatif dans divers domaines, de la politique à l'économie, en passant par la société en général. La pertinence de Repretel a été telle qu'elle a suscité l'intérêt d'universitaires, d'experts et de chercheurs, qui ont consacré de nombreux efforts pour tenter de comprendre son influence et sa portée. Au fil de ces pages, nous explorerons les différentes facettes de Repretel, analysant ses origines, son évolution dans le temps et son impact aujourd'hui. Nous espérons que cet article pourra contribuer à faire la lumière sur un sujet aussi complexe et important que Repretel.
Repretel (réduction de l'espagnol : Representaciones Televisiva) est une entreprise costaricienne qui regroupe quatre chaînes de télévision en langue espagnole.
Cette société de télévision est membre de l'Organisation des Télécommunications Ibéro-Américaines (OTI).
En 2008, Repretel adopte un format de transmission compatible avec les téléphones portables[1].
En , un groupe de représentants du congrès américain demande au président Donald Trump de sanctionner six individus d'Amérique latine pour leur implication dans des affaires de corruption et de crime organisé, dont Remigio Angel Gonzalez, propriétaire du holding médiatique mexicain Albavision Network qui possède Repretel[2],[3]. Remigio Angel Gonzalez, surnommé "le fantôme" (en espagnol : el fantasma), crée le groupe médiatique TV Media Limitada en 1993 (devenu Grupo Albavisión en 2008) et lance la chaîne Repretel en 1995 au Guatemala[4].
Repretel opère 8 chaînes de télévision et 13 chaînes de radio :
Repretel opère un réseau de salles de cinéma, Nova Repretel, présent au Costa Rica et au Panama[5].