Dans l'article d'aujourd'hui, nous voulons parler de Quartier de haute sécurité, un sujet qui a suscité un grand intérêt dans la société ces derniers temps. Quartier de haute sécurité est un problème qui a touché des personnes de tous âges, sexes et niveaux socio-économiques, générant différentes opinions et débats sur son importance et ses répercussions. Dans cet article, nous analyserons les aspects les plus pertinents de Quartier de haute sécurité, depuis ses origines jusqu'à sa situation actuelle, dans le but de fournir une vision large et complète de ce sujet qui a retenu l'attention de tant de personnes à travers le monde.
Un quartier de haute sécurité ou QHS est un département carcéral ayant des mesures de sécurité plus poussées que dans les autres départements d'une prison, incluant l'isolement, et réservée aux prisonniers présumés ou reconnus comme dangereux ou présentant un fort risque d'évasion.
En France, les « quartiers de haute sécurité » (QHS) sont l'appellation non officielle des quartiers de sécurité renforcée (QSR pour les condamnés de centrales) et des quartiers de plus grande sécurité (QPGS dans les maisons d'arrêt) créés par le décret du dans le cadre de la réforme pénitentiaire du garde des Sceaux Jean Lecanuet[1]. Considérés comme un régime inhumain qui broie les hommes, le Garde des sceaux Robert Badinter décide, par une circulaire du [2], de les fermer ou de les transformer en quartiers d'isolement au régime moins dur dans les maisons d'arrêt[3].
Jacques Mesrine et François Besse se sont évadés de celui de la prison de la Santé[réf. nécessaire].
La Belgique a instauré une « section de mesures de sécurité individuelles particulières[4] ».
La situation a beaucoup évolué jusqu'à des établissements de très haute sécurité, Supermax, comme l'unité pénitentiaire ADX Florence.