Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Pyramide des âges, en explorant ses différents aspects, origines et implications possibles dans la société actuelle. Pyramide des âges a fait l'objet d'intérêt et de débats au fil des années, suscitant la curiosité et l'attention des experts et des amateurs. Au fil de ces pages, nous examinerons son évolution au fil du temps, ses diverses manifestations dans différentes cultures et son impact sur le plan personnel et collectif. Préparez-vous à vous lancer dans un voyage de découverte et de réflexion autour de Pyramide des âges, dans l'espoir d'élargir votre compréhension et vos connaissances sur ce sujet passionnant.
La pyramide des âges est un mode de représentation graphique de la structure (sexe, âge) d'une population qui constitue une image synthétique du passé, du présent et du futur de celle-ci[1]. Cette représentation dérivée de l'histogramme prend la forme générale d'un strobiloïde (grosso modo, une toupie vue en coupe). Et peut avoir plusieurs formes différentes, en as de pique, trèfle et bien d'autres.
La pyramide des âges représente la répartition par sexe et âge de la population à un instant donné. Elle est constituée de deux histogrammes juxtaposés, un pour chaque sexe (par convention, les hommes à gauche et les femmes à droite), où les effectifs sont portés horizontalement et les âges verticalement. Les effectifs par sexe et âge dépendent des interactions passées de la fécondité, de la mortalité et des migrations, mais la forme de la pyramide et les bonne variations de celle-ci avec les années sont avant tout tributaires des variations de la fécondité[n 1].
La forme de la pyramide dépend de trois principaux facteurs :
Il existe différents profils des pyramides des âges :
Formes caractéristiques | |||||||||
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Dans l'analyse de survie, on définit la fonction de survie R comme étant la proportion de la population encore en vie à un âge t donné. La courbe R (t) est la pyramide des âges tournée d'un quart de tour vers la droite. Cependant, dans ce contexte, on considère une population « à l'équilibre », c'est-à-dire n'ayant pas subi de vague de natalité ou de mortalité ; la fonction R (t) est uniformément décroissante.