Dans cet article, nous explorerons Progrès social sous différentes perspectives, en analysant son importance, son impact et sa pertinence dans divers contextes. Depuis son origine jusqu'à son évolution aujourd'hui, Progrès social a fait l'objet d'intérêt et de débats parmi les experts, les universitaires et les amateurs. À travers une analyse détaillée, nous souhaitons mettre en lumière les aspects moins connus de Progrès social, ainsi que mettre en évidence son influence dans des domaines aussi variés que la science, la culture, la technologie ou la société en général. Avec une approche multidisciplinaire, nous aborderons les multiples facettes de Progrès social pour apporter une vision complète et enrichissante sur ce sujet.
Le progrès social est la recherche d'une amélioration des conditions de vie de l'être humain par un changement dans l'organisation sociale. Le progrès social est essentiellement une notion contemporaine parce qu'il est associé aux conditions de vie de l'être humain dans la société moderne.
Il se présente sous plusieurs aspects :
Il se concrétise dans des institutions officielles : ONU[réf. nécessaire], ONG, partis politiques multiples, syndicalisme, Sécurité sociale, assurances/mutuelles, Conseil constitutionnel, Cour des comptes[réf. nécessaire], etc.
Le progrès social a permis non seulement la mise en place de la Sécurité sociale, payée par les cotisations des travailleurs et qui englobe les allocations familiales, les pensions, le chômage, le remboursement des soins de santé, les congés payés, etc. mais a également permis l'instauration en France du RMI (revenu minimum d'insertion) devenu le RSA (revenu de solidarité active) en 2009 et en Belgique du revenu d'intégration sociale qui, financés par les impôts, sont un dernier filet avant l'indigence. Le droit au logement, la gratuité de la scolarité… Tous ces droits fondamentaux font partie du progrès social.
Le progrès social découle non seulement de batailles politiques mais aussi de progrès économique. D'ailleurs, de nombreuses réformes considérées aujourd'hui comme des « acquis sociaux », ont été votées par des libéraux, afin d’entériner une situation permise grâce à la croissance économique. On peut ainsi citer la première limitation du travail des enfants, décidée en 1841 par le libéral François Guizot, premier ministre pendant la monarchie de Juillet, ou encore l'abolition du délit de coalition par le député libéral Émile Ollivier.
Les progrès sociaux peuvent être obtenus de différentes façons, parfois par :
La capacité de la société actuelle de suivre une ligne de progrès social a été critiquée, sur différents aspects comme :
On peut aussi parler de la critique provenant de l'École de Francfort et notamment Herbert Marcuse, dans les années 1960, qui, dans L'Homme unidimensionnel, théorise le fait que le capitalisme réduise les possibilités d'existence à un simple comportement unique.
Un quotidien national, en format papier, porte également le nom Le Progrès Social. Il est lancé par des militants associatifs, syndicaux ou politiques engagés dans la construction du progrès social et dans l’éducation populaire au premier trimestre 2016.