Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons explorer l'impact de Prix Beccaria sur notre société moderne. Prix Beccaria est un sujet d'intérêt et de débat depuis longtemps, et son influence peut être constatée dans une variété de contextes, depuis les sphères politique et sociale, jusqu'à la sphère culturelle et technologique. Au fur et à mesure que nous approfondirons ce sujet, nous approfondirons ses origines historiques, ses implications actuelles et son potentiel pour façonner l’avenir. Grâce à une analyse détaillée et une évaluation critique, nous cherchons à faire la lumière sur Prix Beccaria et sa signification pour notre réalité contemporaine.
Le prix Beccaria est un prix biennal décerné par la Société de criminologie du Québec.
Le prix veut rappeler Cesare Beccaria, « illustre marquis italien du Siècle des Lumières, dont les idées ont renouvelé la pensée criminologique contemporaine. Ce prix a été établi pour distinguer un chercheur ou une équipe de recherche dont l’apport à la criminologie et ses alternatives a été remarqué aussi bien dans le domaine de la recherche fondamentale ou théorique, que dans celui de la recherche appliquée, opérationnelle ou évaluative. »[1]
Lauréats
- 2017 : Isabelle Ouellet-Martin, professeure, École de criminologie, Université de Montréal
- 2015 : Stéphane Leman-Langlois, professeur, École de service social, Université Laval
- 2013 : Sylvie Frigon, professeure, Département de criminologie, Université d'Ottawa
- 2011 : Benoît Dupont, directeur, Centre international de criminologie comparée, Université de Montréal
- 2009 : Natacha Brunelle, professeure, Département de psychoéducation, Université du Québec à Trois-Rivières
- 2007 : Gilles Côté, directeur, Centre de recherche de l'Institut Louis-Philippe Pinel de Montréal
- 2005 : Gilles Rondeau, professeur, École de service social, Université de Montréal
- 1999 : Jean Proulx, professeur, École de criminologie, Université de Montréal
- 1997 : Serge Brochu, professeur, École de criminologie, Université de Montréal
- 1992 : Danielle Laberge, département de sociologie, Université du Québec à Montréal
- 1990 : Pierre Landreville, professeur, École de criminologie, Université de Montréal
- 1988 : Richard E. Tremblay, professeur, Université de Montréal
- 1986 : Pierre Tremblay, chercheur, Centre international de criminologie comparée, Université de Montréal
- 1984 : Micheline Baril, professeure, École de criminologie, Université de Montréal
- 1982 : Marcel Fréchette, professeur, École de criminologie, Université de Montréal
- 1980 : Yves Brillon, chercheur, Centre international de criminologie comparée, Université de Montréal
- 1978 : Maurice Cusson, professeur, École de criminologie, Université de Montréal
- 1976 : Raymond Boyer, professeur, université McGill
- 1974 : Marc Le Blanc, professeur, École de criminologie, Université de Montréal, directeur du G.R.I.J.
- 1972 : Denis Gagné, professeur, École de criminologie, Université de Montréal
- 1970 : Ezzat Fattah, professeur, École de criminologie, Université de Montréal
- 1968 : Brian Grossman, professeur de droit, université McGill
- 1966 : Richard Michaud, directeur de l'Institut Louis-Philippe Pinel de Montréal
- 1964 : Thérèse Limoges, professeure, Université de Montréal
- 1962 : Marie-Andrée Bertrand, professeure, École de criminologie, Université de Montréal
Source : Société de criminologie du Québec, Liste des récipiendaires depuis 1962[2].
Notes et références