Pieter Heerema
Dans le monde d'aujourd'hui, Pieter Heerema continue d'être un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour une grande partie de la population. Au fil du temps, Pieter Heerema a réussi à rester au centre de l'attention des universitaires, des professionnels et des amateurs, démontrant son importance et son impact dans différents domaines de la société. Tout au long de l'histoire, Pieter Heerema a fait l'objet de nombreuses études, débats et réflexions, qui ont contribué à enrichir les connaissances sur ce sujet. Dans cet article, nous explorerons quelques aspects clés liés à Pieter Heerema, dans le but d'approfondir sa signification, son évolution et sa pertinence aujourd'hui.
|
Pieter Heerema
| |
.jpg) Pieter Heerema en Mars 2017 | |
| Contexte général | |
|---|---|
| Sport | Voile |
| Site officiel | nowaybacksailing.com |
| Biographie | |
| Nationalité sportive |  Pays-Bas
|
| Nationalité | Royaume des Pays-Bas |
| Naissance | |
| Lieu de naissance | Maracaibo (Venezuela) |
| Taille | 1,80 m |
| Poids de forme | 79 kg |
modifier  |
|
Pieter Heerema, né le à Maracaibo au Venezuela, est un navigateur skipper et industriel néerlandais. Il participe au Vendée Globe 2016-2017.
.jpg)
Biographie
Il naît le à Maracaibo, au Venezuela[1]. À l'âge de onze ans, il vient vivre aux Pays-Bas[2] et commence à naviguer sur un Flits, petit dériveur en double néerlandais[1]. Il court ensuite en 470, en Yngling, en J/22 (en) et en J/24 (en)[2].
Depuis 1989, il est président du groupe familial Heerema qui fabrique, entre autres, des plates-formes de forage.
À partir des années 1990, il court en équipage sur Dragon et sur son RC44 No Way Back[2].
Il n'a pas d'expérience de la course au large, encore moins en solitaire. Il décide pourtant de participer au Vendée Globe 2016-2017, avec pour seule ambition de boucler le tour du monde « dans un temps de course acceptable[1] ». Il n'a nullement l'intention d'acheter un IMOCA de dernière génération, mais il rencontre peu d'offres de bateaux d'occasion en bon état. Il se laisse tenter lorsqu'en est proposé à la vente un foiler flambant neuf[3],[1], construit à Bergame aux chantiers Persico Marine, mis à l'eau à Lorient le . Il s'agit d'un plan VPLP-Verdier, le Vento di Sardegna d'Andrea Mura, skipper italien que son principal sponsor, la région de Sardaigne, ne veut plus soutenir en raison de la crise économique[4]. Heerema rachète le bateau, qu'il rebaptise No Way Back. Il est conseillé pendant plusieurs semaines par Michel Desjoyeaux. Il se qualifie pour le Vendée Globe en participant en à la Calero Solo Transat, entre Lanzarote et Newport[5]. Dans la Transat New York-Vendée (mai-), il abandonne à une cinquantaine de milles de l'arrivée[6]. Le , il prend le départ du 8e Vendée Globe, qu'il termine le , à la 17e place[7].
Palmarès
- 2016 : 2e de la Calero Solo Transat
- 2017 : 17e du Vendée Globe 2016-2017 en 116 jours, 22 heures et 25 minutes, sur le monocoque No Way Back
.jpg)
Notes et références
- « No Way Back, un foiler très sexy pour Pieter Heerema », sur scanvoile.com, 25 octobre 2016, source MA Prestation (consulté le 2 mars 2017).
- « Pieter Heerema », sur vendeeglobe.org (consulté le 2 mars 2017).
- ↑ Bruno Ménard, « Le bateau neuf d'Andrea Mura est vendu », sur vendeeglobe.org, 24 septembre 2015 (consulté le 2 mars 2017).
- ↑ « IMOCA flambant neuf pour Andrea Mura », sur scanvoile.com, 11 septembre 2015, source Olivier Bourbon (consulté le 2 mars 2017).
- ↑ Olivier Bourbon, « Pieter Heerema se prépare », sur courseaularge.com, 31 août 2016 (consulté le 2 mars 2017).
- ↑ « Transat New York - Vendée 2016 : La consécration des monocoques à foils », sur seasailsurf.com, 14 juin 2016 (consulté le 2 mars 2017).
- ↑ Jenny Launay, « Le Néerlandais Pieter Heerema 17e du Vendée Globe », sur vendeeglobe.org, 2 mars 2017 (consulté le 2 mars 2017).
