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Nom de naissance | Pierre Victor Méré |
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Naissance |
Paris |
Nationalité |
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Décès |
(à 84 ans) Arnay le Duc - Côte d'Or |
Profession |
Réalisateur Scénariste Directeur de la photographie Acteur |
Films notables | La nuit s'achève |
Pierre Méré (1912-1996) est un réalisateur, scénariste, dialoguiste, directeur de la photographie et acteur français.
Né le dans le 17e arrondissement de Paris[1], Pierre Méré est le fils du dramaturge, réalisateur et scénariste français Charles Méré. Après des études secondaires au lycée Rollin (devenu Jacques Decour après la guerre), il commence sa carrière cinématographique comme directeur de la photographie, puis assistant réalisateur dans les années 1930. Ce n'est qu'après la Seconde Guerre mondiale qu'il commence sa carrière comme réalisateur, scénariste, dialoguiste et acteur. Il met fin à sa carrière dans le cinéma en 1958, et entre dans le monde de la publicité, en particulier comme directeur de publicité à La Revue du son.
il a eu un fils Philippe, né en 1958.
Il prend sa retraite en 1981 et meurt le à Arnay-le-Duc (Côte-d'Or)[1].
Sergent de réserve au 5e régiment d'infanterie de ligne, il rejoint son corps le . Lors de la Bataille de France, le régiment subit pendant trois jours – 9 au – l'assaut de forces trois fois supérieures en nombre. Pierre Méré est fait prisonnier le à Vieux-les-Asfeld (Ardennes) et fut emprisonné au Stalag XI B (Fallingbostel).
Il rejoint la résistance du camp, animée par Michel Cailliau, neveu du général de Gaulle. Rapatrié sanitaire le , il continue son action résistante au sein du Mouvement de résistance des prisonniers de guerre et déportés (MRPGD), qui deviendra le Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés (MNPGD), et est une première fois interné à la prison Montluc du au , en compagnie de Pierre Le Moign, futur Compagnon de la Libération. Relâché faute de preuve formelle, il est à nouveau arrêté le au domicile de son père Charles, rue La Bruyère dans le 9e arrondissement de Paris.
Classé NN (Nuit et brouillard - Nacht und Nebel), il est interné à Compiègne, monte le dans le dernier convoi à destination de Buchenwald, mais réussit à s'évader du convoi, franchit les lignes allemandes et rejoint Paris le [réf. nécessaire].
Il est membre du « Comité de Libération du Cinéma Français », en tant qu'assistant réalisateur. Il fonde et préside l'« Amicale des Prisonniers de guerre et Déportés Politiques du Cinéma » qui s'occupe de trouver des emplois et des subsides à ceux qui reviennent des camps.