Dans le monde d'aujourd'hui, Pierre Audibert est devenu une question fondamentale qui touche divers domaines de la société. Sa pertinence s'étend des aspects personnels aux aspects corporatifs, ayant un impact sur la prise de décision, le développement technologique, l'économie, la politique et la culture. Quelle que soit la perspective sous laquelle on l’aborde, Pierre Audibert suscite des inquiétudes et suscite des débats dans toutes les sphères de la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons les différentes dimensions de Pierre Audibert et son influence sur notre environnement, en analysant son importance et ses implications sur notre réalité actuelle.
Enseignant-chercheur Université Paris-VIII |
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Pierre Audibert, né le à Rabat, au Maroc, et décédé le [1] est un journaliste, mathématicien informaticien et enseignant français. Il a enseigné à l'Université Paris-VIII, s'est spécialisé dans l'analyse combinatoire et la géométrie algorithmique et est l'auteur de divers algorithmes[2].
Il est diplômé ingénieur des Ponts-et-chaussées en 1964[3],[1].
Il participe à la création du journal « Libération », devenu journaliste, il couvre au Portugal, en 1974, la Révolution des Œillets. Il publie un livre avec Daniel Brignon, relatant ces évènements : « Portugal : les nouveaux centurions » chez Belfond. Il commence alors à s'intéresser aussi à l'écologie[2].
En 1978, il publie avec la collaboration de Danielle Rouard, l'ouvrage « Les Énergies du soleil », un panorama complet des expériences solaires à travers le monde[4],[2], dans lequel il déclare « les sciences de l’homme ne visent-elles pas uniquement à assurer définitivement la domination des hommes par quelques-uns » (Audibert 1978 :307)[5].
Il reprend ses études en mathématiques, sa première passion. Il est agrégé de maths en 1991, et s'intéresse également à l'informatique et obtient un DEA d’intelligence artificielle à l’université de Paris-VIII, avant l’obtention de son doctorat en 1998[2]. Il devient enseignant-chercheur dans cette université. On le décrit comme pédagogue, rigoureux et bienveillant, et très apprécié des étudiants qu'il a formé pendant environ 20 ans. Son approche pragmatique des mathématiques a permis à de nombreux informaticiens de découvrir, et de maîtriser, des notions complexes, généralement présentées de façon trop abstraite[2].
En 2008, il est chercheur au Laboratoire d'informatique avancée de Saint-Denis (en 2008)[3] en analyse combinatoire et géométrie algorithmique et grâce à sa maîtrise des outils informatiques, pour lesquels il crée plusieurs algorithmes (dont un appelé Propagation d'un feu de forêt[6],[7]), il sait utiliser la théorie des nombres, les symétrie et l'esthétique des surfaces algébriques des espaces non-euclidiens pour les représenter dans des images graphiques. Il écrit sur le sujet plusieurs ouvrages de références, dont « Géométrie des pavages », 2013, « Combien ? Mathématiques appliquées à l'informatique » en 3 volumes, 2008[2], traduit en anglais sous le titre « Mathematics for Informatics and Computer Science » en 2010.
Il décède dans le nord de la France d'un accident de voiture[2].