Dans le monde d'aujourd'hui, Pierre-Aubin Paillart est un sujet d'intérêt et de discussion constant. Il existe un grand intérêt à en savoir plus sur Pierre-Aubin Paillart et à comprendre son impact dans différents domaines de la vie quotidienne. Au fil du temps, Pierre-Aubin Paillart a gagné en pertinence dans divers domaines, générant des débats, des recherches et des développements qui cherchent à offrir de nouvelles perspectives sur ce sujet. Dans cet article, nous explorerons en détail les implications de Pierre-Aubin Paillart et son influence dans différents contextes, en analysant son évolution au fil du temps et sa pertinence dans la société actuelle.
Président Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen | |
---|---|
- | |
Président Académie de Stanislas | |
Premier président Cour d'appel de Nancy |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activités | |
Père |
Membre de |
---|
Pierre-Aubin Paillart, né le à Chartres et mort le à Nancy[1], est un magistrat et historien français.
Fils de Nicolas-Pierre Paillart et de Marie Jeanne Mathurine Aubin, neveu d'Étienne Jumentier, il épouse Sophie-Henriette Thomas de Froideau, dont il a une fille mariée au général Jules Marie Ladreit de Lacharrière.
Docteur en droit, il est substitut du procureur du roi près le tribunal civil de première instance de l'arrondissement de Dreux (1821)[2], puis avocat général à la Cour d'appel de Colmar de 1825 à 1831, puis avocat général à la Cour d'appel de Rouen de 1833 à 1840.
Paillart est procureur général de 1840 à 1845, puis premier président de la Cour d'appel de Nancy.
Occupé à des travaux historiques, il est vice-président en 1836, puis président en 1837 de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen[3], ainsi que président de l'Académie de Stanislas.