Dans le monde d'aujourd'hui, Perte de signal joue un rôle fondamental dans la société, que ce soit comme point de référence dans l'histoire, comme protagoniste d'un sujet d'intérêt général ou comme personnage pertinent aujourd'hui. Son influence s’étend à de multiples aspects de la vie quotidienne et sa pertinence ne peut être ignorée. Dans cet article, nous explorerons en profondeur l'importance de Perte de signal et son impact dans divers domaines, de la culture à la politique, en passant par la technologie et l'économie. À travers une analyse globale, nous chercherons à découvrir les raisons de son influence notable et la place qu’elle occupe dans la société moderne.
Perte de signal est un centre d'artistes autogéré situé à Montréal ayant pour mandat la création, la recherche et le rayonnement des arts numériques et vidéographiques ainsi que l’innovation artistique liée à la technologie[1],[2],[3].
L'organisme a été fondé à Montréal (Québec, Canada) en 1997.
En 1997, Robin Dupuis, Julie C. Fortier, Isabelle Hayeur, Rémi Lacoste et Sébastien Pesot fondent Perte de Signal. Finissants de l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal, ses fondateurs ont fait partie du comité organisateur et ont participé aux 6e et 7e Événement Interuniversitaire de Création Vidéo (1995 et 1996). Collectif d’artistes émergents à ses débuts, Perte de Signal devient en 2000 un organisme à but non lucratif (OBNL) et compte une vingtaine de membres actifs. Des cinq membres fondateurs, seul Robin Dupuis, directeur artistique et général depuis 2000, fait encore partie du groupe.
La fondation du collectif est concomitante de l’apparition du numérique dans le domaine de l’art vidéo. Grâce à la démocratisation des outils de production en vidéo, à la légèreté du médium et des logiciels de montage sur ordinateur, la réalisation et la postproduction changent radicalement. La structure de Perte de Signal se modèle sur cette légèreté du médium. Cela lui a permis de s'introduire rapidement dans de nombreux réseaux.
Après plus de dix ans d’existence et avec son expérience en distribution, production, commissariat, Perte de Signal ouvre un nouvel espace aux jeunes artistes via des programmes de parrainage et de résidence visant à faciliter la transition entre l’université et la pratique artistique professionnelle.
Parmi les premiers bénéficiaires de ces programmes figurent des artistes tels que Sofian Audry, Jonathan Villeneuve, Myriam Bessette, Nelly-Ève Rajotte, Alexis Bellavance et Samuel St-Aubin.
Perte de signal diversifie ses activités en ajoutant à son mandat de distributeur celui de producteur et de commissaire d’expositions destinées aux galeries et à un public plus large que celui des festivals[4]. Il développe également des projets d’œuvres collectives pour ses membres et investit de nouveaux lieux de diffusion (par exemple, des œuvres en vitrine sur une rue commerciale de Montréal ou dans un bain public désaffecté)