Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Perceval Gaillard, en explorant ses différentes facettes et significations. Perceval Gaillard est un sujet qui a suscité l'intérêt de nombreuses personnes à travers l'histoire, car il a une pertinence qui transcende les frontières et les cultures. Depuis ses origines jusqu'à son influence aujourd'hui, Perceval Gaillard a fait l'objet d'études et de débats, générant d'innombrables opinions et réflexions. Dans cette optique, nous approfondirons la complexité de Perceval Gaillard, en analysant son impact dans différents contextes et sa pertinence dans la société actuelle.
Perceval Gaillard | |
![]() | |
Fonctions | |
---|---|
Député français | |
En fonction depuis le (2 ans, 9 mois et 20 jours) |
|
Élection | 19 juin 2022 |
Réélection | 7 juillet 2024 |
Circonscription | 7e de La Réunion |
Législature | XVIe et XVIIe (Cinquième République) |
Groupe politique | LFI |
Prédécesseur | Jean-Luc Poudroux |
Adjoint au maire de Saint-Paul | |
– (2 ans, 2 mois et 8 jours) |
|
Élection | |
Maire | Huguette Bello Emmanuel Séraphin |
Successeur | Carole Leveneur |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Rouen (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | RÉ974-LFI |
Profession | Éducateur spécialisé |
modifier ![]() |
Perceval Gaillard, né le à Rouen, est un homme politique français. Membre de La France insoumise et de Rézistan's Égalité 974, il est élu député à La Réunion en 2022.
Installé à La Réunion à l'âge de 19 ans, il y exerce plusieurs métiers tels que manœuvre, maçon et manutentionnaire au port pour le dépotage de conteneurs[1]. Il devient ensuite éducateur social[2].
Élu sur la liste d'Huguette Bello à Saint-Paul lors des élections municipales de 2020, il est treizième adjoint au maire chargé de la politique de la ville et de la lutte contre l'illettrisme[3],[4]. Il est membre du parti Rézistan's Égalité 974, fondé par Jean-Hugues Ratenon et proche de La France insoumise[5].
Le , il est élu député dans la septième circonscription de La Réunion sous l'étiquette divers gauche[6]. Il devient dès lors le premier député « zorey » (métropolitain) de l'île depuis Michel Debré, député entre 1963 et 1988[1]. Il rejoint le groupe La France insoumise - Nouvelle Union populaire écologique et sociale (LFI-NUPES) à l'Assemblée nationale, aux côtés de Jean-Hugues Ratenon[7]. Il est membre de la commission des Affaires économiques.
Alors que son mandat est écourté le en raison d'une dissolution parlementaire décidée par Emmanuel Macron, il se représente aux élections législatives anticipées dans la septième circonscription de La Réunion[8]. En ballottage lors du premier tour avec 29,44 % des suffrages exprimés[9], il est réélu au second tour avec 57,33 % des voix[10].