Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Paul Laurent Vibert et tout ce que ce thème a à offrir. De son impact sur la société à sa pertinence aujourd'hui, Paul Laurent Vibert est un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. A travers une analyse complète, nous examinerons les différents aspects liés à Paul Laurent Vibert, offrant à nos lecteurs une vision complète et enrichissante. Que ce soit par son influence sur l'histoire, son importance dans la culture populaire ou sa pertinence dans la vie quotidienne, Paul Laurent Vibert est devenu un sujet de discussion incontournable, et dans cet article, nous approfondirons sa complexité et sa signification.
Paul Vibert | ||
![]() Paul Vibert en 1941. | ||
Nom de naissance | Paul Laurent Vibert | |
---|---|---|
Naissance | Brest (Finistère) |
|
Décès | (à 57 ans) Hœnheim (Bas-Rhin) |
|
Origine | Française | |
Allégeance | ![]() |
|
Arme | Marine nationale | |
Grade | Officier en chef des équipages (capitaine de frégate) | |
Années de service | 1928 – 1963 | |
Conflits | Seconde Guerre mondiale | |
Distinctions | Officier de la Légion d'honneurCompagnon de la LibérationCroix de guerre 1939-1945 | |
Hommages | Une rue à son nom, à Brest | |
![]() |
||
Liste des Compagnons de la Libération | ||
modifier ![]() |
Paul Laurent Vibert, né le à Brest[1] et mort le à Hœnheim[2], est un officier de Marine français s'étant illustré pendant la Seconde Guerre mondiale dans les Forces navales françaises libres. Il est Compagnon de la Libération[3],[4].
Paul Vibert est né en 1912 à Brest[1]. En 1928, il entre à l'école de maistrance de la flotte à Brest[3].
En 1939, il est affecté, avec le grade de premier maître, sur le sous-marin Junon[5].
À la fin du mois de , Paul Vibert prend le commandement du chasseur de sous-marins no 8 Rennes. Il quitte Lorient le sur ce navire, afin de rallier la France libre en Angleterre[2].
Il est ensuite désigné comme troisième officier sur le sous-marin Minerve, mais début , il se porte volontaire pour le commandement du patrouilleur Poulmic[6]. Il est grièvement blessé quand celui-ci saute sur une mine le , au large de Plymouth[7].
Vibert retrouve alors, après sa sortie d'hôpital en , le bord du Minerve, avec le grade d'officier des équipages de seconde classe. En mai, il est officier en second du sous-marin, et est promu en juillet officier des équipages de première classe[3].
Après une forte maladie qui l'éloigne du bord, il prend le le commandement du chasseur de sous-marins no 15 Paimpol[3]. Ses missions sont d'escorter les convois et de patrouiller dans la Manche.
En , pour raisons de santé, Paul Vibert prend le commandement de la caserne Surcouf à Londres, un des premiers points de chute des candidats Français libres[8]. Puis il est affecté à la base de chasseurs à Cowes, en tant que commandant en second, de mars à . Il est ensuite affecté à la caserne Bir-Hakeim[3] près de Portsmouth.
Après la guerre, il est au service de l'état-major de la 2e région maritime, puis au Secrétariat général de la marine marchande. Officier principal des équipages, il est nommé au commandement de la Marine à Paris, où il exerce la fonction d'officier des sports de la région parisienne. Il est fait officier en chef des équipages en .
Il quitte la Marine en 1963, et se retire au Grau-d'Agde. Paul Vibert décède le à Hœnheim, et est ensuite inhumé au cimetière d'Agde.
Une rue porte son nom à Brest.