Park Avenue Armory

Cet article abordera la question de Park Avenue Armory, qui représente un aspect d'une grande importance aujourd'hui. De ses origines à son influence sur la société contemporaine, Park Avenue Armory a joué un rôle fondamental dans de multiples domaines. Tout au long de l’histoire, Park Avenue Armory a fait l’objet d’études et d’analyses, permettant de comprendre son évolution et son impact dans différentes sphères. De même, sa pertinence aujourd’hui continue d’être évidente, générant des débats et des réflexions sur son importance et ses implications. En ce sens, il est essentiel d’analyser le phénomène Park Avenue Armory en détail, en explorant ses différentes facettes et sa pertinence dans le contexte actuel.

Park Avenue Armory
Présentation
Type
Partie de
Quartier historique de l'Upper East Side (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondation
Style
Architecte
Charles W. Clinton (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Patrimonialité
New York City Landmark (d) (façade en , intérieur en )
Inscrit au NRHP ()
National Historic Landmark ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Localisation
Coordonnées
Carte

Park Avenue Armory (également en anglais : Seventh Regiment Armory)[1] est un édifice historique situé au 643 Park Avenue à Manhattan, à New York. Il s'agit d'un bâtiment en brique et en pierre construit en style néo-gothique en 1880. C'est le seul arsenal financé par des fonds privés aux États-Unis[2]. Au début, c'était le quartier général et le centre administratif du septième régiment de la milice de New York. Parce qu'il attirait un grand nombre de personnalités de la classe supérieure, il fut surnommé par le public le Silk Stockings Corps (Corps des bas de soie). Le lieu est classé depuis 1986 sur le Registre national des lieux historiques, et est connu pour ses intérieurs décorés avec des sculptures en bois, du marbre et des vitraux[3].

Références

  1. (en) Anthony Tommasini, « In Charting Its Future, City Opera Chooses an Adventurous Path », The New York Times,‎
  2. « Fortress Under Fire », The American Legion Magazine, (consulté le )
  3. Landmarks Preservation Commission 1994, PDF pp. 19–21

Liens