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Auteur dramatique, il commence à 57 ans à écrire des romans policiers mettant en scène Athènes et la Grèce contemporaine, notamment avec sa série du commissaire Kostas Charitos, « flic désabusé, râleur et hargneux , déjà en poste durant la dictature des colonels »[1]. Dans le roman intitulé Le Che s'est suicidé (O Tse autoktónīse, 2003), considéré par Claude Mesplède comme « le plus réussi de la série, Kostas Charitos demande à son chef d'enquêter officieusement sur la mort étrange et spectaculaire de Jason Phavieros qui s'est suicidé en direct à la télévision. Têtu et bougon, accablé par la chaleur et les embouteillages, Kostas va conduire son affaire patiemment, mais résolument pour tenter de comprendre le geste fatal de ce riche entrepreneur, ancien résistant à la junte des colonels qui fut torturé dans les prisons fascistes. »[1]
Le travail de Pétros Márkaris est récompensé par la médaille Goethe en 2013.
Stavroula Kefallonitis, « La Langue de l'identité en question chez Hérodote d'Halicarnasse, Petros Markaris et Fatih Akin », dans Y. Clavaron, J. Dutel et C. Lévy (éds), L'Étrangeté des langues, Saint-Étienne, Presses universitaires de Saint-Étienne, pp. 35-45.
Loïc Marcou, De l’anatomie d’un crime à l’anatomie d’un pays : la « crise grecque » dans les trois derniers romans policiers de Pétros Markaris in Cahiers balkaniques, 42, 2014. (Lire en ligne Consulté le )
Loïc Marcou, Quand l’enquêteur se met à table: Cuisine et gastronomie dans le « polar méditerranéen » et le « nouveau roman policier grec » in Cahiers balkaniques, Hors-série, 2016 (Lire en ligne Consulté le )