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Date | 17 - |
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Lieu | Vérone |
Issue | Victoire française |
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Antoine Balland Jean Landrieux |
Francesco Battaia |
3 000 en garnison 15 000 dans un second temps |
Inconnues |
500 soldats morts 1 000 soldats blessés 500 soldats prisonniers 1 900 civils prisonniers |
Inconnues |
Batailles
Coordonnées | 45° 26′ 00″ nord, 10° 59′ 00″ est | |
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Les Pâques véronaises sont un épisode de la campagne d’Italie, pendant lequel les Vénitiens (essentiellement les Véronais) se révoltèrent contre l’armée française de Bonaparte. Il a eu lieu le (soit le 27 germinal an V) à Vérone. Ce massacre se déroule quand Napoléon Bonaparte négociait le traité de Leoben en Autriche.
Le général Balland, qui commandait dans cette place, prévoyant une révolte, se renferme avec le petit nombre de troupes placées sous ses ordres dans le fort Saint-Félix (it) et dans les deux autres châteaux. Balland, en se renfermant dans les forts, n'avait laissé à la garde des portes que le nombre d'hommes nécessaire. Les agents de l'administration et environ 600 malades se trouvaient ainsi sans défenseurs.
Le lundi 17 avril, seconde fête de Pâques, après vêpres, le tocsin sonna en même temps à Vérone, à Vicence, à Padoue. Dans ces deux dernières villes, les Français échappèrent au massacre ; mais à Vérone, les rues et les places publiques se remplirent, les portes de la ville sont capturées. Tous les Français isolés, qui vivaient dans les maisons particulières furent assassinés, sans distinction d'âge, d'état, ni de sexe, dont notamment des malades, des blessés et des femmes enceintes. Plusieurs Véronais soupçonnés d'être partisans des Français furent également tués.
En représailles, le général Bonaparte fit envahir les États de Venise, exigea et obtint l'abandon du pouvoir par l'aristocratie vénitienne. La république de Venise fut cédée ensuite à l'Autriche par le traité de Campo-Formio en .
Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850, [détail de l’édition].