De nos jours, Naomi Wolf est un sujet dont on parle constamment et qui continue de susciter un grand intérêt dans la société. Depuis des années, Naomi Wolf s’avère être un facteur déterminant dans divers aspects de notre vie quotidienne, de la politique à la technologie, en passant par la culture et l’économie. Son influence est si marquée qu'elle ne laisse personne indifférent, puisque Naomi Wolf a su capter l'attention des spécialistes, des experts et du grand public. Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Naomi Wolf pour comprendre son importance, ses implications et l'impact qu'il a eu et continuera d'avoir sur nos vies.
Naissance | |
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Nationalité | |
Formation | |
Activités |
Écrivaine politique, journaliste, militante pour les droits des femmes, conseillère politique, militante, écrivaine |
Période d'activité |
Depuis |
Père |
Leonard Wolf (en) |
Mère |
Deborah Goleman Wolf (d) |
Conjoint |
David Shipley (en) (de à ) |
Distinction |
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Quand la beauté fait mal, The End of America: Letter of Warning to a Young Patriot (d) |
Naomi Wolf (née le à San Francisco) est une auteure et consultante politique américaine. Elle est la fille de Leonard Wolf (en), auteur de romans gothiques. Elle est considérée par plusieurs sources médiatiques comme une théoricienne du complot, du fait de ses déclarations publiques.
Elle est née dans une famille juive, dont la branche paternelle a été victime de la Shoah. Sa mère est anthropologue et son père est auteur. Elle fut mariée à David Shipley, qui a été la « plume » du président Bill Clinton, et avec qui elle a eu deux enfants.
Elle est également conseillère de l'homme politique Al Gore, vice-président des États-Unis de 1993 à 2001[1].
Avec la publication de Quand la beauté fait mal, elle est devenue l'une des représentantes de ce qui sera décrit plus tard comme la troisième vague féministe. Elle reste une avocate des causes féministes et des politiques progressistes, insistant ces dernières années sur une dégradation des institutions démocratiques aux États-Unis.
Naomi Wolf a accusé les États-Unis d'envoyer des troupes en Afrique de l'Ouest non pas pour aider au traitement d'Ebola, mais pour ramener le virus aux États-Unis afin de justifier une prise de contrôle militaire de la société américaine[2]. Elle a aussi affirmé qu'Anthony Fauci était un stipendié de l'État d'Israël[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9].
Début juin 2021, Twitter annonce la suspension de son compte en lui reprochant de l'utiliser « pour propager des mythes sur la pandémie, les vaccins et le confinement »[10].
Plusieurs de ses thèses sur la sexualité ont été critiquées par des historiens comme étant un ensemble d'assertions fantaisistes ou exagérées. Ces analyses provoquent alors chez certaines de ses lectrices le sentiment d'avoir été manipulées par elle[7],[9],[11].