Cet article abordera le sujet de Nakh, qui a retenu l'attention d'individus de diverses disciplines et intérêts. Nakh a fait l'objet d'études, de débats et de réflexions au fil du temps, ses implications et sa pertinence sont incontestables dans le domaine _var2. Grâce à une approche globale, différentes perspectives, recherches et opinions concernant Nakh seront explorées, afin de fournir une vision complète et actualisée sur ce sujet. De son impact sur la société à ses implications au niveau individuel, cet article vise à fournir une vision détaillée et critique de Nakh, dans le but d'enrichir la connaissance et la compréhension de ceux qui le lisent.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
On appelle Nakh un groupe de peuples du Caucase parlant des langues apparentées et partageant un certain nombre de caractères culturels communs. Autrefois plus répandu, il est désormais principalement constitué des Tchétchènes et des Ingouches qui sont deux peuples Vainakhs. Les Bats de Géorgie constituent un troisième peuple Nakh (mais non Vainakh). Ils sont aujourd'hui largement assimilés et leur langue est menacée.
L'architecture Nakh est connue pour ses tours médiévales à base carrée caractéristiques en Tchétchénie et en Ingouchie.
Christoph Pan, Beate Sibylle Pfeil, Michael Geistlinger, National Minorities In Europe, Purdue University Press, 2004 (ISBN978-3700314431) : « The Peoples of Europe by Demographic Size », table 1, p. 11f.