Dans le monde d'aujourd'hui, Microcalorimètre est un sujet qui suscite beaucoup d'intérêt et de débats. Avec les progrès de la technologie et les changements de mode de vie, Microcalorimètre est devenu une question pertinente qui a un impact sur la société dans son ensemble. Sous différentes perspectives et enquêtes, Microcalorimètre a été analysé et diverses solutions ont été proposées pour résoudre ce problème. Dans cet article, nous approfondirons les aspects les plus pertinents liés à Microcalorimètre, en explorant ses causes, ses conséquences et ses solutions possibles. De plus, nous examinerons la pertinence de Microcalorimètre dans différents contextes, du niveau personnel à l'impact global.
On réserve, en général, le nom de microcalorimètre aux dispositifs permettent la mesure d'un dépôt d'énergie impulsionnel comme celui engendré par une interaction entre le rayonnement X ou gamma avec un absorbeur et le nom de microbolomètre aux dispositifs permettant la mesure de flux comme c'est le cas dans l'astronomie infrarouge.
Le principe du calorimètre repose sur le fait que la capacité calorifique des matériaux tend vers 0 quand on descend à très basse température.
Il existe plusieurs types de microcalorimétrie. Le titrage calorimétrique isotherme (ITC) et la calorimétrie à balayage différentiel (DSC) en sont deux exemples.
Le titrage calorimétrique isotherme est une technique qui permet notamment d'étudier avec une grande précision la liaison d'un ligand à une macromolécule ou l'interaction entre 2 macromolécules. Cette technique mesure le changement d'enthalpie lors de la liaison de biomolécules à température constante[1].
La calorimétrie à balayage différentiel permet d'étudier l'interaction entre des biomolécules, la stabilité des protéines, des transitions de phase lipidique, la micellisation de surfactants, la fusion d'acide nucléique et la stabilité de certains principes actifs (sous forme liquide)[2].
La limite de détection pour l'ITC se situe à environ 50µJ[3]