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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Maxime Frédéric Victor Boullé |
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
Peintre, architecte, décorateur |
Maîtres |
Philippe de La Hogue-Rey, Marcel Lagesse (d), Gaëtan de Rosnay |
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Église Notre-Dame-Auxiliatrice de Cap Malheureux (d), collège Saint-Joseph |
Max Boullé[1], né le à l'île Maurice et mort le à l'île Maurice, est un peintre et architecte mauricien. Le musée municipal et galerie d'exposition de Rose-Hill (galerie Max Boullé) a été nommé ainsi en son honneur.
Max Boullé, né dans une famille franco-mauricienne, fils de Maxime Louis André Boullé, négociant, et de Marie Noémie Léa Feuilherade, fait des études d'architecture à l'école des beaux-arts de Paris et travaille dans un cabinet. Il dessine entre autres les plans du collège Saint-Joseph de Curepipe (où il fit ses études secondaires), du Monument Marie Reine de la Paix Port-Louis, la chapelle du Montmartre mauricien, ou l'hôtel de ville de Beau-Bassin Rose-Hill[2] ; mais il se fait surtout connaître comme décorateur de théâtre et réunit autour de lui toute une génération de jeunes peintres dans les années 1930 à qui il apprend le métier et qui va faire éclore la peinture réaliste à sujets exotiques dans cette île francophone des Mascareignes, alors colonie britannique. Parmi ses élèves, on peut distinguer Jac Desmarais, Marcel Lagesse, Philippe de La Hogue-Rey, Gaëtan de Rosnay, Clément Sauzier. Il peint surtout des paysages mauriciens, des scènes de marché et de la vie besogneuse locale[3]. Humaniste et poète, il cherche dans l'âme de son pays l'inspiration de ses œuvres. Ses voyages du midi de la France et d'Afrique du Sud font naître également des toiles lumineuses avec un grand souci d'observation.
Ses toiles se trouvent dans nombre de collections privées mauriciennes, réunionnaises, sud-africaines, françaises, ainsi que dans des collections publiques à Maurice et en Afrique. Max Boullé fut aussi illustrateur de livres[4].
De son épouse, née Henriette Couve de Murville, il a trois enfants, Hélène, Michel (prêtre) et Bernard.