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Louise Albertine Rosset |
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Louise Deglane (Paris, - Marquay, ) est une photographe amatrice française, connue pour sa pratique de l'autochrome.
Fille de Joseph Auguste Rosset, un commis d’agent de change, et de Wilhelmine Wickel, elle naît sous le nom de Louise Albertine Rosset le à Paris, dans le 18e arrondissement[1]. Le , elle se marie à la mairie du 10e arrondissement avec Henri Deglane[2], architecte, premier grand prix de Rome en 1881, qui réalisera plus tard la façade principale du Grand Palais[3].
Si peu d’informations sont connues sur la vie de Louise Deglane, on sait qu'elle devient membre de la Société française de photographie lors de la séance du et reçoit quelques années plus tard une médaille « pour remercier ses collaborateurs les plus assidus depuis trois ans aux programmes des séances ainsi qu’à la rédaction du Bulletin. »[4]
Elle meurt le 22 décembre 1936, dans sa propriété de Laussel[5], à Marquay[6]. Sa mort est annoncée dans le Bulletin de la Société française de photographie, lors de la séance du . Elle fait de l'Académie des beaux-arts sa légataire universelle, à la condition que les revenus de sa fortune soient consacrés à la création d'un prix « Fondation Henri et Louise Deglane », octroyé chaque année au grand prix de Rome d'architecture afin de l'aider à débuter[7],[8].
Photographe amateur, elle est l'une des rares femmes autochromistes[9]. Ses premiers autochromes datés sont ceux des illuminations du Salon automobile de 1912 sous la nef du Grand Palais, qui font preuve d’une grande maîtrise technique. On peut ainsi lire dans le bulletin de la SFP, le : « Cette collection, irréprochable à tous égards, dénote chez son auteur le sens artistique le plus exquis pour le choix, la composition, l'éclairage des sujets et la délicatesse la plus avisée dans le traitement de la plaque depuis la pose jusqu'à la dernière manipulation du laboratoire. ».
À l’instar de nombreux autochromistes, Louise Deglane témoigne des expositions florales et potagères, de visites de jardins, mais on peut aussi suivre ses multiples voyages notamment en France (Picardie, Maine-et-Loire, Bretagne), en Allemagne, en Suisse et en Italie[10]. Elle s’attache à fixer sur la plaque l’architecture et particulièrement religieuse.[réf. nécessaire]
Ses œuvres données à la Société française de photographie sont régulièrement projetées par la suite[11].