Dans cet article, nous allons explorer le monde fascinant de Littérature du IVe siècle av. J.-C., un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. De son impact sur la société à ses possibles implications futures, Littérature du IVe siècle av. J.-C. a généré des débats, des recherches et d'innombrables opinions contradictoires. Au fil de ces pages, nous plongerons dans son histoire, explorerons ses différentes facettes et examinerons sa pertinence aujourd’hui. Que vous connaissiez Littérature du IVe siècle av. J.-C. ou que vous découvriez son importance pour la première fois, cet article vous invite à réfléchir sur un sujet qui continue sans aucun doute de marquer notre société.
388 av. J.-C. : le philosophe Platon qui vivait depuis deux ans à la cour du tyranDenys de Syracuse est embarqué de force sur un navire spartiate et vendu comme esclave à Égine, alors en guerre contre Athènes. Il est reconnu par un Cyrénéen, Annicéris, rencontré à Syracuse, qui le rachète pour 20 mines avant de le rendre à la philosophie[4]. C'est probablement à la suite de cette mésaventure que Platon recommande de ne pas asservir d'autres grecs et de bien traiter les esclaves.
366–347 av. J.-C. : Aristote, âgé de 18 ans, s'établit à Athènes auprès de Platon, dont il devient le disciple[6].
Vers 361–359 av. J.-C. : sur les instances de Dion, de Denys le Jeune et d’Archytas, Platon entreprend un troisième voyage à Syracuse pour tenter de réconcilier Dion et Denys. Ses efforts échouent. L’impopularité de Denys parmi les Syracusains, rapportée par le neveu de Platon Speusippe, encourage Dion à intervenir (357 av. J.-C.)[7].
319-301 av. J.-C. : règne en Chine du roi Xuan de Qi. Sous son règne, l’Académie Jixia atteint son apogée. Elle accueille un millier de lettrés à Linzi[11]. Jeux et distractions tiennent une grande place dans la vie des citadins et la ville est célèbre pour abriter une académie où s’affrontent moralistes et théoriciens de la politique. Des palabres diplomatiques et des jeux de cours (devinettes, paradoxes, raisonnement aux conclusions absurdes) apparaît une sophistique chinoise aux IVe et IIIe siècles av. J.-C..
Aristote, accusé d’impiété après la mort d’Alexandre, doit quitter Athènes et, après avoir confié le Lycée à Théophraste, se retire à Chalcis où il meurt en 322[13].
Épicure se rend à Athènes, pour faire son service militaire. Il y suit peut-être les leçons de Xénocrate, alors à la tête de l’Académie, puis après 322 probablement celles de Praxiphane à Rhodes et celles de l’atomiste Nausiphanès à Téos, près de Colophon[14].
306 av. J.-C. : Épicure fonde l’école du jardin à Athènes[18]. Il y professe une doctrine qui comporte une théorie de la connaissance sensualiste (canonique), une cosmologie atomiste, matérialiste et mécaniste (physique) et une morale hédoniste.
387-386 av. J.-C. : à Athènes, Aristophane donne Kokalos (387) et La Cuisine d'Éole (Αἰωλοσίκων / Aiôlosikôn, v. 386), comédie, deux pièces aujourd'hui perdues[23].
Vers 400-450 av. J.-C. : rédaction dans la première moitié du siècle du Cantique des Cantiques, compilation anonyme de textes profanes attribués à Salomon, qui est ajouté à la Bible[27].
399 av. J.-C. : Sur les Mystères, discours de l’orateur Andocide prononcé à l'occasion de son procès pour impiété à Athènes[28].
Vers 390 av. J.-C. : Isocrate d'Athènes rédige un texte Contre les sophistes[30].
Vers 385 av. J.-C. : rédaction du Banquet de Platon, une des plus belles et des plus riches œuvres de la philosophie dont l’influence s’exerce durablement sur la pensée occidentale. Il met en scène plusieurs personnages (Phèdre, Pausanias, Éryximaque, Aristophane et Socrate) qui, réunis dans la maison du poète tragique Agathon prononcent chacun un éloge de l’amour[31].
Platon définit la notion de catharsis pour exprimer le soulagement ressenti par l'âme lors de la satisfaction d'un besoin moral.
380 av. J.-C. : Isocrate d'Athènes rédige son Panégyrique[30].
372 av. J.-C. : Plataïque, discours d’Isocrate[33].
Après 370 av. J.-C. : l’historien Xénophon rédige la majeure partie de son œuvre, dont Les Helléniques, qui relatent l’histoire grecque de 411 à 362 av. J.-C.[34].
356-354 av. J.-C. : « Sur la paix », d’Isocrate (vers 356-354) et « Sur les revenus », de Xénophon (vers 355), ouvrages s’opposant à l’impérialisme athénien[30].
354-350 av. J.-C. : Sur les Symmories (354), Pour les Mégalopolitains (353) et Pour la liberté des Rhodiens (351-350), discours de Démosthène[30].
Vers 352-340 av. J.-C. : Éphore de Cumes publie une Histoire universelle des grecs et autres peuples depuis le retour des Héraclides jusqu’en 340 av. J.-C.[35].
346 av. J.-C.: Sur la Paix, discours de Démosthène, qui parvient difficilement à persuader les Athéniens irrités contre Philippe de ne pas provoquer la guerre[37].
341 av. J.-C.: Sur les affaires de Chersonèse et troisièmes et quatrièmes Philippiques, discours de Démosthène qui dénoncent les ambitions de Philippe de Macédoine[38].
Vers 340 av. J.-C. : Contre Néaira, d’Apollodore, fils du banquier Pasion[39].
Vers 335-323 av. J.-C. : Aristote publie la Poétique, un ouvrage théorique sur l'art poétique[40].
Vers 321-300 av. J.-C. : on attribue au premier ministre de Chandragupta MauryaKautilya la compilation et la rédaction des Arthashâstra, traité contenant des réflexions politiques. Il fournit des informations utiles sur l’État et l’administration[42] (il est daté aujourd’hui des premiers siècles apr. J.-C.).
Personnages significatifs
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Bibliographie
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↑Richard Goulet, Dictionnaire des philosophes antiques, vol. 5, Editions du Centre national de la recherche scientifique, (ISBN9782271073358, présentation en ligne)