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Les refuges de Corse listés ici sont des refuges de montagne à vocation initiale de tourisme montagnard, gérés et entretenus par le parc naturel régional de Corse, d'une capacité de 12 à 36 places environ. Il s'agit d'hébergements de passage et non de séjour[1] dont l'utilisation est payante[2],[3]. Ils sont entourés d'un espace destiné au bivouac, d'une capacité d'accueil de 150 personnes en moyenne[4].
Durant la saison estivale, 14 des 16 refuges du parc naturel régional sont gardés[4] par des agents ou délégataires en charge de l'information des visiteurs, de l'entretien des lieux, et de la gestion des nuitées. À partir des années 2000, une convention de mise à disposition et d'exploitation[4] et une délégation de service public[3],[5] y ont également permis l'implantation d'activités commerciales : vente de produits d'épicerie, petite restauration[5].
La majorité des refuges corses sont situés sur le tracé du GR20. Ce dernier est usuellement divisé en 2 parties :
Plusieurs refuges (Altore, Campiglione, Pedinielli)[1] détruits par des incendies n'ont jamais été réhabilités.
Refuge de l'Ortu di u Piobbu - Refuge de Carozzu - Refuge d'Asco-Stagnu - Refuge de Tighiettu - Refuge de Ciottulu a i Mori.
Refuge de Manganu[6] - Refuge de Petra Piana - Refuge de l'Onda.
Refuge de Prati - Refuge d'Usciolu - Refuge d'Asinau - Refuge d'I Paliri.
Refuge de l'Erco - Refuge de Puscaghia (sur le sentier de la transhumance).
Refuge de la Sega (sur le sentier L'Île-Rousse - Corte et le Mare a mare nord).
Si des gîtes d'étape, hôtels ou restaurants baptisés « refuge » existent au voisinage de sentiers de randonnée (notamment à Vizzavona et Matalza), ceux-ci ne sont pas des refuges de montagne au sens de la loi[8], au contraire d'abris communaux non gardés laissés en libre accès (cas des refuges de Prunincu à Lama[9], de Vizziluga à Tasso et de Foce d'Astra à Bastelica[10]).
Quelques abris forestiers propriétés de la collectivité de Corse sont également dénommés « refuges » mais n'ont pas vocation d'hébergement touristique[11].