Dans le monde de Libération Champagne, il existe un large éventail d'opinions, d'études et de recherches qui nous permettent d'entrer dans un univers plein de possibilités et de découvertes. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Libération Champagne a suscité l'intérêt et la curiosité des experts et des amateurs. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects qui font de Libération Champagne un sujet fascinant et pertinent aujourd'hui. De son impact sur la société à son influence dans différents domaines de la vie quotidienne, nous nous plongerons dans un voyage fascinant pour comprendre son importance et sa pertinence dans le monde moderne.
Libération Champagne | |
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Pays | ![]()
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Langue | Française |
Périodicité | Quotidienne |
Format | Tabloïd |
Genre | Presse régionale |
Prix au numéro | Lundi au vendredi et Dimanche : 1,40 € Samedi : 1,60 € |
Diffusion | 2 948 ex. (2021) |
Date de fondation | 1945 |
Ville d’édition | Troyes |
Propriétaire | Groupe Rossel[1] |
Directeur de publication | Daniel Picault |
Rédacteur en chef | Nicolas Fostier |
ISSN | 2110-5308 |
Site web | www.liberation-champagne.fr |
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Libération Champagne est un quotidien régional français originaire de la ville de Troyes s'intéressant particulièrement à l'actualité de Troyes et des communes de l'Aube. Le journal a été fondé en 1945 par des résistants de l'Aube.
Le premier numéro de Libération Champagne, tout d'abord hebdomadaire, date du et comporte en première page un éditorial de Gabriel Thierry et une photo des chars de l'armée de Patton devant le jardin du préau. Il est imprimé sur les presses du journal Libération de Paris, dont il est une émanation. Il paraît en parallèle avec le journal L'Aube libre (dont le premier numéro, du , consacré à la libération de Troyes, est consécutif aux deux bulletins d'information émanant du C.D.L. des 1er et ) des 24 et et le dernier numéro du .
À l'été 1945, le commissaire de la république (région Champagne), Grégoire Ghislain, convoqua à Châlons-sur-Marne plusieurs responsables de la résistance auboise, qui demandaient à faire valoir leurs droits au bénéfice de la loi de dévolution des entreprises de presse ayant collaboré avec l'ennemi. Gabriel Thierry et Germain Rincent représentaient indistinctement deux formations clandestines reconnues : Libération-Nord et la Section française de l'Internationale ouvrière. André Mutter, Roger Paupe et Jean Bruley représentaient l'Armée secrète et Ceux de la Libération. Le Front national (Résistance) avait un délégué. Il fut décidé que Libération-Champagne remplacerait Le Petit Troyen (dernière parution le au bout de 66 ans d'existence) et que L'Est-Éclair remplacerait La Tribune de l'Aube.
Thierry et Rincent fondèrent, le , la SARL Libération-Champagne (quotidien de la démocratie socialiste). Charles Arpin était nommé gérant, Georges Ferry, administrateur, Thierry et Rincent directeurs politiques. Huit personnes furent associées au lancement du journal : Roger Gouaille, Jean Garric, le docteur Ménard, Paul Brandon, Alphonse Guerry, Georges Marty, Alfred Lanois et Gaston Michel.
Par ailleurs, L'Est-Éclair cohabitera avec La Dépêche de l'Aube à la place de La Tribune de l'Aube.
En 1986, la question de la fusion du journal avec L'Est-Éclair est envisagée[2].
2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 | 2020 | 2021 | |
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Totale | 6 659 | 6 394 | 6 190 | 5 889 | 5 520 | 5 372 | 4 889 | 4 687 | 4 377 | 4 058 | 3 800 | 3580 | 3 351 | 3 084 | 2 948 |
Payée | 4 184 | 3 877 | 3 620 | 3 405 | 3 181 | 3 014 | 2 886 |
Il fait l'objet d'un avis du Petit Futé[4].