Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons aborder le sujet de L'Homme en plus, une question qui a suscité un grand intérêt et un grand débat ces derniers temps. L'Homme en plus a attiré l'attention de personnes d'horizons différents, des experts dans le domaine à ceux qui commencent tout juste à explorer ce sujet. Tout au long de cet article nous explorerons les différentes perspectives et points de vue liés à L'Homme en plus, dans le but de proposer une vision complète et enrichissante sur cette question. De son impact sur la société à ses implications mondiales, nous approfondirons une analyse détaillée qui nous permet de comprendre la pertinence et la complexité de L'Homme en plus aujourd'hui.
L'Homme en plus (L'uomo in più) est un film italien réalisé par Paolo Sorrentino, sorti en 2001.
L'histoire se déroule en 1980 à Naples. Les deux homonymes « Antonio Pisapia » sont au faîte de leur carrière. L'un, timide et renfermé, est un footballeur obligé d'interrompre sa brillante carrière après un accident lors d'un entrainement. L'autre, dit « Tony » est un chanteur à succès, égoïste et drogué, accusé de viol après avoir séduit une mineure obligé, est rejeté du monde du spectacle. Tous deux, et en parallèle, essayeront de se réintégrer dans leurs mondes respectifs.
Le sentiment d'abandon, de solitude et d'impuissance dû à la mise en marge d'une société qui n'en veut plus est illustré avec art et sans apitoiement.
Le personnage du footballeur Antonio Pisapia est directement inspiré du tragique destin d'Agostino Di Bartolomei, capitaine emblématique de la Roma des années 1980. Di Bartolomei se suicida le , exactement dix ans après avoir perdu la finale de la Ligue des champions à domicile, au Stadio Olimpico de Rome. Il semblait que le joueur souffrait particulièrement de l'absence d'opportunités que lui offrait le monde du football après sa retraite sportive[1].