Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Jean Labordère et tout ce qu'il a à offrir. De son impact sur la société à ses implications dans le domaine scientifique, Jean Labordère est un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes à travers le monde. Au fil de ces pages, nous analyserons son évolution dans le temps et sa pertinence dans le contexte actuel. Peu importe que vous soyez un expert dans le domaine ou simplement curieux d'en savoir plus, cet article vous fournira un aperçu complet et enrichissant de Jean Labordère. Préparez-vous à vous immerger dans un voyage de découverte et de connaissance !
Député français Somme | |
---|---|
- | |
Député français | |
Maire de Montdidier |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activités | |
Enfants |
Jean Labordère (d) Arthur Labordère |
Jean Labordère est un homme politique français, né le à Avesnes-sur-Helpe (Nord) et mort le à Montdidier (Somme).
Avocat, procureur du roi à Clermont (Oise), puis maire de Montdidier, il devient ensuite juge suppléant à Beauvais puis président du tribunal civil d'Amiens. Partisan de la Monarchie de Juillet, il montre peu d'attachement à la République en 1848. Il est député de la Somme de 1848 à 1851, siégeant à droite avec les conservateurs. Il participe activement et se fait remarquer[1] par son érudition jurisprudentielle dans les discussions sur la répression des délits de presse pendant l'état de siège, sur l'interdiction de publication des actes d'accusation dans les journaux avant le procès (proposition de Louis Blanc), sur les privilèges ouvriers, etc.[2]
Il devient ensuite avocat à la Cour de Cassation. En 1862, il cède sa charge à son dernier fils Gabriel (1838-1893). Ses deux autres fils sont Alfred Jean Ethelbert (1834, Beauvais - 1902, Plainoiseau), préfet du Jura et Jean-Marie-Arthur Labordère (1835, Beauvais - 1919, Paris) officier, révoqué de l'armée puis réintégré, élu sénateur puis député de la Seine[3] et siégeant à l'extrême gauche.
Il existe une rue Jean-Labordère à Montdidier où il résidait jusqu'à son décès.
Fils de Jean Labordère, pharmacien militaire (1768-?), originaire de Miradoux et d'Angélique Adélaide Bosquillon du Fay (1770-1848), originaire de la Somme, il épouse, le 9 janvier 1833 à Montdidier, Hermance Rose Luglienne Ballin (1814, Montdidier - 1901, Montdidier) âgée de 19 ans. Son père résidait alors à Villeuve-d'Agen et n'était pas venu, mais le consentement au mariage de son fils de 36 ans était nécessaire à l'époque[réf. nécessaire] et est mentionné dans l'acte.