Jean-Michel Rancoule
Dans cet article, nous explorerons le sujet de Jean-Michel Rancoule en profondeur, en analysant ses origines, ses implications et ses applications possibles dans différents contextes. Depuis son apparition sur la scène publique, Jean-Michel Rancoule suscite un intérêt croissant et suscite des débats et des discussions dans de multiples disciplines. Au fil de ces pages, nous nous plongerons dans l'univers de Jean-Michel Rancoule, dévoilant ses multiples facettes et offrant une vision complète et enrichissante de ce phénomène. À travers une analyse détaillée et exhaustive, nous visons à faire la lumière sur Jean-Michel Rancoule, offrant à nos lecteurs une compréhension profonde et enrichissante de ce sujet si d’actualité aujourd’hui.
Pour les articles homonymes, voir Rancoule.
Pas d'image ? Cliquez ici
| Naissance |
Lourdes (France) |
|---|---|
| Taille | 1,71 m |
| Poste (XV) | Ailier |
| Période | Équipe | M (Pts)a |
|---|---|---|
1978-1981 1981-1982 1982-1992 |
FC Lourdes Stade toulousain FC Lourdes Stade toulousain |
a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
Jean-Michel Rancoule, né le à Lourdes, est un joueur français de rugby à XV, trois-quarts aile du Stade toulousain, de 1,71 m pour 70 kg.
Biographie
_-_53Fi4599.jpg)
Il est le fils d'un ancien joueur de rugby à XV international du FC Lourdes, Henri Rancoule et débute également dans ce même club haut-pyrénéen en cadets. Il n'a quasiment pas joué en juniors car il a été intégré directement en équipe première alors qu'il n'avait que 17 ans. L'année suivante, en 1977, il joue la finale du Challenge Yves du Manoir face à Beziers. Lourdes s'inclina 18 à 19[1].
Effectuant son service militaire à Toulouse, il rejoint le Stade toulousain. Lourdes n'a plus le même lustre dans les années 1980 que dans les années 1950, aussi, Jean-Michel Rancoule rejoint la valeur montante de la région Midi-Pyrénées, le Stade toulousain en tant que demi-d'ouverture[1]. La ligne d'attaque qui se met en place est impressionnante avec Denis Charvet, Didier Codorniou et Éric Bonneval.
Il revient ensuite une année à Lourdes en 1982 avant de retourner à Toulouse, cette fois au poste d'ailier[1].
Il fut international juniors et espoirs quand il jouait à Lourdes, puis international B et A' quand il évoluait au Stade toulousain[1]. Il remporte trois titres de champion de France avec le Stade toulousain en 1985, 1986 et 1989 et est le meilleur marqueur d'essais du championnat en 1986.
Le , il est sélectionné avec les Barbarians français pour jouer contre les Fidji à Bordeaux. Les Baa-Baas s'inclinent 16 à 32[2].
Il a été directeur technique du Stade toulousain. Il est hôtelier à Toulouse et il est également responsable du recrutement du Stade toulousain de 1997 à 2015[3],[4]. Proche de Guy Novès, il quitte le Stade toulousain en 2015 pour intégrer la cellule de suivi du XV de France qui épaule le sélectionneur[5].
Club
- FC Lourdes jusqu'en 1978 et de 1981 à 1982
- Stade toulousain de 1978 à 1981 et de 1982 à 1992
Équipe de France
- International France A'
- International France B
Palmarès
- Avec le FC Lourdes
- Challenge Yves du Manoir :
- Finaliste (1) : 1977
- Avec le Stade toulousain
Notes et références
- Marcel Dax, Jacques Pienkowski, Le Stade toulousain 1985-1986-1987, Loubatières, , 41 p.
- ↑ « Barbarian Rugby Club vs Fidji », sur www.barbarianrugbyclub.com, Barbarians français (consulté le )
- ↑ Nicolas Zanardi, « Le parcours d’un gagnant », sur www.midi-olympique.fr, Midi olympique, (consulté le )
- ↑ Julien Carrere, « Top 14 - Stade toulousain: qui pour remplacer Jean-Michel Rancoule ? », sur www.rugbyrama.fr, Eurosport, (consulté le )
- ↑ Stéphane Colineau, « XV de France : Guy Novès déjà dans le bain », sur www.lejdd.fr, Le Journal du dimanche, (consulté le )
Lien externe
- Ressource relative au sport :
