Dans cet article, nous aborderons le sujet de Jean-Marc Bel sous différents angles, en analysant son impact sur la société actuelle. Nous explorerons les différentes opinions et arguments qui tournent autour de Jean-Marc Bel, cherchant à faire la lumière sur sa pertinence et ses implications dans notre vie quotidienne. De ses origines à son évolution, nous plongerons dans Jean-Marc Bel pour mieux comprendre son influence sur le monde moderne. À travers une approche critique et réflexive, nous chercherons à démêler les différents aspects qui font de Jean-Marc Bel un sujet d'intérêt et d'actualité, invitant nos lecteurs à réfléchir et à se forger une opinion éclairée sur le sujet.
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Jean-Marc Bel, né le à Biot et mort le à Paris, est un explorateur et ingénieur géologue français.
Il naît dans les Alpes-Maritimes. Il est le fils de Lambert Bel (agriculteur) et de Françoise Elisabeth Gazielly. Après avoir étudié à l'école polytechnique de 1874 à 1876[1] et obtenu une licence en physique en 1877, il devient ingénieur civil de l'École des Mines de Paris et géologue.
Il devient directeur technique de la société française des mines d’or de l’Uruguay. En 1887, il part au Venezuela y étudier l'industrie minière. Sa première expédition est une mission scientifique dont il est le géologue au Chili, au Pérou et en Bolivie de 1888 à 1889. L'année de son départ, il épouse Amélie Cireaud qui l'accompagnera dans toutes ses prochaines expéditions. Il dirige une expédition géologique entre 1890 au Transvaal (Afrique du Sud) pour y observer les gisements d'or. Il part ensuite pour le Siam (province de Bang Saphan) en 1893 pour y étudier les champs aurifères. En 1896, il explore le bas-Laos et l'Annam[2].
Il est membre de la société de géographie à laquelle il lègue tous ses clichés en 1923. Il est également un des membres fondateurs de l'Académie des sciences d'outre-mer. Il est vice-président de la société des ingénieurs coloniaux et secrétaire du district parisien de la société de l'industrie minérale et secrétaire de la société des ingénieurs civils de France[3].
En 1906, il lance la mission Bel qui vise à la reconnaissance d'un tracé de chemin de fer de Brazzaville à l’océan. et l'étude des minerais du Congo français. La mission est constituée de Jean-Marc Bel et 7 personnes dont sa femme. Elle part de France début 1906, passe par la Guinée française, la Côte d'Ivoire et le Gabon. M. Devès part en éclaireur et débarque à Loango en mai 1906. L'équipe remonte le fleuve Congo jusqu'à Matadi puis prend le train jusqu'à Léopoldville. Ils passent ensuite par Brazzaville et marchent sur la piste des caravanes accompagnés de porteurs (en faisant escale à Loudima) jusqu'à Loango (où ils rejoignent Devès) et Pointe-Noire. Pendant plusieurs mois, il étudie les gisements du Congo et étudie différents lieux pour l'emplacement d'un port pour y construire le terminal du chemin de fer : après des études de terrain et des sondages, Pointe-Noire est choisie au détriment de Loango et Kouilou[4].
Liste des œuvres[5] :