De nos jours, Jean-François Sabouret est un problème très important qui touche les gens du monde entier. Depuis ses origines jusqu’à son impact sur la société moderne, Jean-François Sabouret a fait l’objet de débats et de réflexions tant auprès des experts que des citoyens. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects de Jean-François Sabouret, de son évolution au fil du temps jusqu'à sa pertinence aujourd'hui. Nous examinerons également comment Jean-François Sabouret a influencé différents aspects de la vie quotidienne et examinerons les solutions possibles pour relever les défis associés à Jean-François Sabouret. Grâce à cette exploration, nous espérons fournir une vision plus complète et approfondie de Jean-François Sabouret et de son impact sur la société contemporaine.
Directeur de recherche au CNRS |
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Jean François Daniel Sabouret |
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Centre de recherche sur les liens sociaux (d) |
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Jean-François Sabouret, né le au Poinçonnet (Indre) et mort le à Phú Quốc au Vietnam[1], est un sociologue et japonologue français.
Par ses ouvrages et ses chroniques radio, il aura en France contribué à une meilleure connaissance du Japon[1].
Jean-François Sabouret obtient une licence de sociologie puis une maitrise de philosophie[1]. Attiré par l'Extrême-Orient par ses lectures et la pratique de l'aïkido, il part comme enseignant à Hokkaido[1]. À son retour du Japon, il obtient en 1981 un doctorat en sciences sociales à l'École des hautes études en sciences sociales, son sujet de thèse étant sur les Burakumin, les habitants des hameaux au Japon et minorité discriminée[1],[2]. Il passe également un diplôme de langue japonaise à l'École des langues orientales, actuel Institut national des langues et civilisations orientales[1] et devient alors japonologue.
Il dirige l'ouvrage collectif et encyclopédique L'Etat du Japon publié en 1988 (puis refondu en 1995)[1]. Il crée le bureau de représentation du CNRS au Japon en 1990 qu'il a dirigé jusqu'en 1996[2],[1]. Sur cette même période, il est correspondant de France Inter dans ce pays, tenant une chronique bi-hebdomadaire de deux minutes « Ici Tokyo »[1].
De 1996 à 1998, il est chercheur invité à l'université de Berkeley en Californie[2],[1].
De 1998 à 2002, il est directeur de la communication du CNRS, et de 1998 à 2006, toujours au CNRS comme directeur de recherche, il est responsable de l'unité du réseau Asie Centre de recherche sur les liens sociaux à l'Université Paris V[2],[1].
De 2006 à 2012, il est directeur de l'Unité propre de service Réseau Asie - préfiguration de l'Institut des mondes asiatiques (CNRS), hébergée et soutenue également par la Fondation Maison des sciences de l'homme.
À partir de 2012, il est directeur émérite du Réseau Asie.
Il meurt d'une crise cardiaque à Phú Quốc, dans le sud du Vietnam le à l'âge de 76 ans[1].