Dans cet article, le sujet de Jean-Baptiste Boussard sera abordé dans une perspective large et détaillée, afin d'en offrir au lecteur une vision complète et approfondie. Diverses facettes et aspects liés à Jean-Baptiste Boussard seront explorés, en analysant son importance et sa pertinence dans différents domaines. De plus, différents points de vue et opinions d’experts sur le sujet seront présentés, dans le but d’enrichir les connaissances et la compréhension de Jean-Baptiste Boussard. Tout au long de l'article, des données statistiques, des exemples, des études de cas et des exercices pratiques seront fournis qui permettront au lecteur d'approfondir le sujet et d'appliquer les connaissances acquises.
Jean Baptiste Boussard | |
Naissance | Paris |
---|---|
Décès | (à 36 ans) Nantes (Loire-Atlantique) Mort au combat |
Origine | Français |
Allégeance | ![]() ![]() ![]() |
Arme | Infanterie |
Grade | Général de brigade |
Années de service | 1783 – 1795 |
Conflits | Guerres de la Révolution française Guerre de Vendée |
Faits d'armes | 1re Bataille de Montaigu 2e Bataille de Montaigu 3e Bataille de Challans Bataille de Chalonnes 2e Bataille de Mortagne |
modifier ![]() |
Jean Baptiste Boussard, né le à Paris, mort le à Nantes (Loire-Atlantique), des suites de ses blessures, est un général de brigade de la Révolution française.
Il entre en service, le , comme soldat au régiment de Limousin, il devient caporal le , sergent fourrier le , et sergent-major de grenadiers le .
Le , il entre comme sergent dans la Garde constitutionnelle de Louis XVI, et il est licencié avec ce corps le suivant. Le , il intègre comme capitaine le 11e bataillon de volontaires de Paris, et le , il est élu premier lieutenant-colonel. Affecté à l'armée de l'Ouest, et chef des grenadiers sous Beysser, il se distingue à l'affaire de Montaigu le .
Il est promu général de brigade le , et le , il est nommé commandant temporaire de Nantes. Le , il défend Le Perrier et il est blessé de deux coups de feu au bras droit et à la hanche droite. Le , à Challans, il repousse les Vendéens et le , il commande l’attaque lors de la bataille de Chalonnes, où il reçut deux blessures au bras[1]. En , il est attaché à la division Caffin, et les 3 et , il participe à la bataille de Mortagne, où il est blessé de deux coups de feu tirés par un insurgé[2].
Transporté à l'hôpital de l'unité à Nantes le , il meurt de ses blessures le .