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Incha'Allah est une transcription francophone de la formule arabe (ar) إِنْ شَاءَ ٱللَّٰهُ (In Shaa Allah en translittération baha'ie) qui signifie « si Dieu le veut ». Ce terme est utilisé par la plupart des musulmans.
Les musulmans estiment souhaitable (mustahabb) de prononcer cette formule quand ils évoquent une action à réaliser dans l'avenir.
Cette croyance s'appuie sur la lecture de la sourate Al-Kahf du Coran[1] :
L’expression est aussi utilisée pour marquer en général le désir et l'espoir de voir se réaliser un événement dans l'avenir.
On trouve déjà cette idée exprimée dans l'épître de Jacques (IV 13-17) :
C'est un équivalent des expressions profanes couramment employées en français comme « toucher du bois » ou « croiser les doigts ».
On trouve aussi le terme « Ma chaa Allah » (ar) مَا شَاءَ ٱللَّٰهُ, signifiant approximativement « comme Allah a voulu ».
Un autre terme, « Law chā'Allāh » (ar) لَوْ شَاءَ ٱللَّٰهُ, signifiant « Si Allah voulait/souhaitait », est utilisé pour exprimer un désir ou un souhait qui ne peut être atteint. Diachroniquement, c'est de cette dernière expression, et non de « Inch'Allah », que sont dérivés l'espagnol « ojalá (que) » et le portugais « oxalá (que) », signifiant tous deux « Espérons (que) ».