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L'identité judiciaire est une section d'un corps de police, dont le périmètre exact et l'organisation interne diffèrent selon les pays.
En France, l'Identité judiciaire est l'une des missions de la police scientifique. Le travail des services territoriaux de l'identité judiciaire, sur le terrain d'une affaire criminelle, consiste à recueillir, à conserver et à présenter des éléments de preuve, et à coordonner ses compétences avec celles de l'enquêteur chargé de l'affaire et des experts judiciaires. Ce service est instauré par le décret présidentiel du sous l'impulsion du préfet Lépine qui fusionne le Bureau d'identité créé grâce aux travaux d'Alphonse Bertillon, le service photographique et celui des sommiers judiciaires[1].
Le service symbolise le processus de modernisation de la police française en appliquant les méthodes scientifiques les plus avancées alors afin de faciliter la traque des criminels (identification anthropométrique, dactylotechnie, gestion des sommiers judiciaires ).
L'activité de la police judiciaire s'accroît considérablement à partir de 1914 et ils doivent contribuer en région parisienne à assurer la surveillance de tous. Les personnes jugées suspectes ou pouvant entraver l'effort de guerre ainsi qu'assurer la surveillance de toutes les installations sensibles grâce à la surveillance menée et aux nombreuses photographies réalisées pendant la guerre[2].
Au niveau national, le service de l'identité judiciaire est un service de la Sous-direction de la police technique et scientifique, plus connue sous l'abréviation PTS. Cette sous-direction a été créée en 1985 dans le cadre de la Direction centrale de la police judiciaire, et comprend cinq services :
Au niveau central, il est chargé :
Parmi les techniques mises en œuvre :
En 1901, Eugène Laflamme fonde la section d'identité judiciaire du SPVM[3] alors nommé Département de la police de Montréal[4].
Elle soutient les unités opérationnelles et administratives en ce qui a trait :
Pour réaliser sa mission, la Section de l'identification judiciaire compte sur 70 employés spécialisés, civils et policiers, ainsi qu'a des équipements de haute technologie.
À tous les ans: