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Réalisation | Jean-Jacques Beineix |
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Scénario | Jacques Forgeas |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Cargo Films Gaumont |
Pays de production |
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Genre | Drame |
Durée | 119 minutes |
Sortie | 1992 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
IP5 : L'Île aux pachydermes est un film français réalisé par Jean-Jacques Beineix et sorti en 1992.
Jockey et Tony sont amis. À la suite d'un coma éthylique fait par le père de Jockey, Tony fait la rencontre d'une jeune infirmière, Gloria, dont il tombe amoureux. Forcé par une bande de skinhead de transporter des nains de jardin à Grenoble, les deux jeunes partent à travers la France dans un voyage aussi improvisé que hors la loi.
Lors du vol d'une voiture, ils font la connaissance d'un vieil homme qui parcourt la France avec un sac à dos et une carte sur laquelle tous les lacs sont entourés d'une marque rouge. Son sac à dos contient un vieux Luger dans le chargeur duquel se trouvent trois balles.
Les trois compères, si différents et si semblables, vont faire des expériences qui les confronteront à leurs peurs et dans un même élan ils trouveront les réponses aux questions qu'ils se posaient sur leurs existences respectives.
Le titre du film vient de « IP » qui désigne l'Île aux pachydermes, un lieu-dit dans le film, et « 5 » car cinquième film du réalisateur Jean-Jacques Beineix[1].
Ce film est le dernier film d'Yves Montand qui meurt le d'un infarctus du myocarde. Pour les besoins du scénario, protégé par une combinaison de plongeur sous ses vêtements, il s'était baigné, fin septembre, dans un lac glacé des étangs de Commelles de la forêt de Chantilly, près de Senlis. Après le tournage d'un ultime raccord, Montand est victime d'un malaise. « Avec tout ce que j'ai vécu, j'ai eu une vie tellement formidable que je ne regretterai pas de partir », déclare-t-il à l'un des pompiers dans l'ambulance[2]. Il meurt à l'hôpital de Senlis.
« Le grand héros de Beineix, c'est le Jeune et c'est l'Aujourd'hui.
Or c'est exactement là qu'il échoue, car jamais il ne réussit à faire entrer dans quelque légende que ce soit ces figures venues de la ville comme de la réalité, lancées dans un voyage initiatique, traversant une forêt magique à la suite d'un vieil éléphant, passeur, raconteur, proche de la mort, Yves Montand. »
— Laurence Giavarini, Cahiers du cinéma n° 458, juillet-août 1992, p. 86