Aujourd'hui, nous voulons parler de Hypotension artérielle. C’est une question qui nous concerne tous, puisqu’elle a un impact direct sur nos vies. Hypotension artérielle est un sujet présent tout au long de l'histoire et qui a suscité d'innombrables débats et réflexions, tant dans le domaine académique que dans la société en général. C’est un sujet qui ne laisse personne indifférent, car ses implications sont diverses et ses conséquences peuvent être importantes. Par conséquent, il est important de consacrer du temps et des efforts à la compréhension et à l’analyse de Hypotension artérielle, afin de prendre des décisions éclairées et de contribuer au débat autour de ce sujet très pertinent.
L’hypotension artérielle correspond à une pression artérielle systolique inférieure à 90 mmHg (le chiffre le plus élevé des deux lorsque l'on prend la pression artérielle).
Il existe différentes sortes d'hypotension :
L’hypotension n’est considérée comme un problème que lorsqu’elle s’accompagne de malaises : faiblesse, étourdissement ou même évanouissement.
L'hypotension peut se révéler par une fatigue, des vertiges en position debout, une ouïe incomplète, une vision embrouillée, des chaleurs, mais aussi un mal de jambe. À l'extrême, elle peut désamorcer la pompe cardiaque lors du collapsus.
Une pression artérielle à moins de 50 mmHg est particulièrement sévère.
L'hypotension (qui induit le malaise vagal) quand elle est forte ou un choc vasoplégique avec syncope quand elle est brutale et forte, peut avoir de nombreuses causes, directes ou indirectes, dont :
L'hypotension artérielle est un des symptômes du syndrome de Flammer.
Le traitement d'urgence de l'hypotension repose sur le décubitus avec les membres inférieurs en position surélevée, le remplissage et les catécholamines.
Le traitement étiologique repose sur la fermeture d'une plaie hémorragique, l'arrêt d'un traitement anti-hypertenseur ou un rééquilibrage hydro-électrolytique.