Lorsqu'on parle de Hippolyte Castille, il est impossible de ne pas être curieux d'en savoir plus sur ce sujet. Que ce soit en raison de sa pertinence historique, de son impact sur la société actuelle ou de son influence sur différents aspects de la vie quotidienne, Hippolyte Castille a capté l'attention de personnes de tous âges et de tous modes de vie. Depuis ses origines jusqu'à sa pertinence aujourd'hui, Hippolyte Castille a été un objet d'étude et d'intérêt pour les chercheurs, les universitaires et les curieux. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Hippolyte Castille, ainsi que son importance et sa pertinence dans le contexte actuel.
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Hippolyte Castille, né le à Montreuil (Pas-de-Calais) et mort le à Luc-sur-Mer (Calvados), est un journaliste, romancier, publiciste et pamphlétaire français.
Charles-Hippolyte Castille a pour père le colonel Castille, officier d'ordonnance de Napoléon, qui meurt juste avant sa naissance en 1820. Un compagnon d'armes de son père lui obtient une bourse pour son éducation au collège de Douai d'abord puis au collège de Cambrai où il est remarqué pour son indiscipline. Ses classes terminées et après quinze mois sans ne rien faire, il convainc sa mère de le laisser partir pour Paris, là où il pourra satisfaire sa passion pour les lettres. Ce qu'il fait et grâce à l'entremise de Claude-Denis Mater, un ancien ami de son père, entre au service du comte Jaubert, ministre des travaux publics[1].
Cet emploi lui laisse du temps pour commencer sa première nouvelle Margrave des Claires qu'il publiera avec d'autres lorsqu'il quittera contraint le cabinet du ministre, après la dénonciation qu'il ose faire des manœuvres de corruption constatées dans le ministère[1].
Il collabore alors à divers journaux et revues, dont L'Esprit public avec Léonce Dupont, le Musée des familles et Le Corsaire, et fonde Le Travail intellectuel et La République française[2].
Son travail de journaliste et de critique littéraire l'amène à rencontrer tant des écrivains comme Alexandre Dumas, Eugène Sue ou Honoré de Balzac[3] que des économistes politiques comme Gustave de Molinari ou Frédéric Bastiat avec lesquels il débat des questions économiques et sociales[1]. Il se positionne en faveur de la république, tient Napoléon III en estime et hait la monarchie parlementaire comme le montre son essai Les Hommes et les mœurs en France sous le règne de Louis-Philippe[4].