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Helga Deen ( – ) est l'auteure d'un journal intime, découvert en 2004, qui décrit son séjour dans le Camp Vught, où elle est déportée au cours de la Seconde Guerre mondiale à l'âge de 18 ans.
Née en 1925 à Stettin (aujourd'hui Szczecin en Pologne), elle grandit à Tilbourg aux Pays-Bas[1]. Elle rejoint en 1942 le Conseil juif de Tilbourg et travaille dans la section de l'« aide aux départs »[1] et est élève dans le lycée de la ville[2]. En , elle est arrêtée avec ses parents et envoyée au camp de concentration de Bois-le-Duc (appelé aussi Camp Vught), y arrive le 1er juin[3] où elle reste jusqu'en juillet[1]. Pendant sa détention, elle tient un journal, y racontant au jour le jour la vie du camp[2] pour que son petit ami sache ce qu'elle y vit[4]. Elle espère que son travail la sauvera de la déportation[4]. En juillet, Helga Deen écrit pour la dernière fois dans son journal, avant d'être déportée vers Sobibór en passant par Westerbork[5] avec sa famille où elle est assassinée à son arrivée, le [2]. Elle a 18 ans.
La façon dont le journal est sorti du camp Vught est inconnue[4].
En 2004, à la mort de Kees van den Berg, un artiste néerlandais, son fils Conrad trouve dans des papiers les pages du journal de Helga Deen, qui est son amour d'enfance[6]. Il est donné aux Archives régionales de Tilbourg par ses enfants[7].