Cet article abordera le sujet de Héctor Villalba Chirivella, qui suscite actuellement un grand intérêt en raison de ses multiples implications dans différents domaines. Héctor Villalba Chirivella a fait l'objet d'études et de recherches de la part d'experts de diverses disciplines, qui ont cherché à bien comprendre ses caractéristiques, son impact et sa pertinence dans la société. Depuis ses origines jusqu'à son évolution aujourd'hui, Héctor Villalba Chirivella a suscité des débats et des réflexions autour de son influence sur la culture, l'économie, la politique, la technologie, l'environnement et d'autres aspects fondamentaux de la vie humaine. Cet article vise à présenter une vision complète et actualisée de Héctor Villalba Chirivella, explorant ses nombreuses facettes et son importance dans le monde contemporain.
Président du Parlement valencien Quatrième législature de la Communauté valencienne (d) | |
---|---|
- | |
Marcela Miró (en) | |
Député au Parlement valencien Seconde législature de la Communauté valencienne (d) Troisième législature de la Communauté valencienne (d) Quatrième législature de la Communauté valencienne (d) Circonscription autonomique de Valence | |
- | |
Regidor de l'Ajuntament d'Almussafes | |
- |
Naissance | |
---|---|
Nom dans la langue maternelle |
Hèctor Villalba Chirivella |
Nationalité | |
Activité |
Parti politique |
---|
Molt Excel·lent Senyor (d) |
---|
Héctor Villalba Chirivella, né à Almussafes (province de Valence) en 1954, est un homme politique valencien, dirigeant et cofondateur du parti blavériste Unio Valenciana (UV) en 1982 et président du Parlement valencien (Corts) entre 1997 et 1999.
Enseignant dans l'éducation primaire de profession, il est d'abord conseiller municipal de sa ville natale entre 1979 et 1984. Il est ensuite député aux Corts valenciennes entre 1987 et 1999 élu sur les listes d'UV dans la circonscription de Valence, assemblée dont il est le président entre et 1999. Aux élections autonomiques de 1999 il est candidat pour le poste de président de la Généralité valencienne, mais son parti n'obtient aucune représentation parlementaire. En conséquence, il démissionne de la direction du parti et abandonne l'activité politique.
Il était proche des secteurs les plus progressistes et valencianistes d'UV. Bien que retiré de la politique active, il a participé à la candidature du parti Units per Valéncia à la présidence de la Généralité[1].