Dans cet article, nous explorerons et analyserons Guillaume IV de Mâcon sous différentes perspectives et angles d'approche. Guillaume IV de Mâcon est un sujet qui a suscité intérêt et débat dans divers domaines, générant des opinions contradictoires et des réflexions profondes. Tout au long de ces pages, nous approfondirons les différents aspects qui composent Guillaume IV de Mâcon, de son histoire et de son évolution à ses implications dans la société contemporaine. Ses ramifications dans le domaine social, économique, culturel et politique seront examinées, afin d'offrir une vision globale et détaillée de ce sujet si actuel. À travers une analyse exhaustive, nous cherchons à faire la lumière sur Guillaume IV de Mâcon et ses conséquences, ouvrant la porte à une réflexion critique et constructive qui invite à la délibération et au dialogue.
Il épouse en premières noces Ponce de Beaujeu, qui semble fille d'Humbert III de Beaujeu et d'Alix de Savoie. Mais de ce mariage, il n'eut aucune postérité[2],[3],[4].
Guillaume (V) de Mâcon, comte de Vienne (mort sans descendance en 1247/1255), chanoine à Mâcon et doyen de Saint-Etienne de Besançon, excommunié en 1233, retourné à l'état laïc, puis époux successif d'Agnès, fille d'Ulrich IIde Ferrette, et d'Isabelle, fille de Mathieu II de Lorraine ;
Henry (Ier) de Mâcon, comte de Vienne (mort en mai 1233 assassiné à Genève, sans descendance), seigneur de Montmorot, d'abord fiancé à Marguerite de Beaujeu, puis marié à Élisabeth de Bourgogne-Chalon-Salins, fille de Jean le Sage ou l'Antique, comte de Chalon. → Henri (Ier) et son frère Guillaume (V) assument le comté de Vienne respectivement en 1227-1233, puis 1230/33-1247 ;
↑Il ne faut pas confondre Guillaume IV et son grand-père homonyme, ainsi que les deux Ponce/Poncette de Traves et de Beaujeu, respectivement sa grand-mère et sa femme.
↑Ponce/Pontia de Traves, fille d'un Thibaud – et paraît-il : pas Ponce/Pontia de Beaujeu ? En tout cas ce ne peut être Poncette de Traves fille de Thibaud, supposée généralement femme de Guillaume IV de Bourgogne-Mâcon, le grand-père de notre Guillaume de Mâcon ! En fait il se peut bien qu'il y ait confusion entre les deux Guillaume, le grand-père et le petit-fils, souvent numérotés tous les deux IV de manière un peu imprécise. Guillaume IV de Bourgogne-Comté – le grand-père – mérite effectivement d'être numéroté Guillaume III de Mâcon et Guillaume III de Vienne ; mais la numérotation comme comte de Mâcon de son petit-fils homonyme ne devrait pas faire oublier leur cousin Guillaume IIIl'Enfant de Bourgogne-Mâcon-Vienne (qu'on devrait logiquement appeler Guillaume IV pour Mâcon : il vient chronologiquement s'intercaler entre les deux Guillaume) ; notre Guillaume IV de Mâcon aurait dû en fait être numéroté V pour Mâcon et IV pour Vienne...[réf. nécessaire]
↑D'après un manuscrit anonyme de 1745, attribuable par l'écriture au chanoine Pierre Juénin, conservé à la Bibliothèque municipale de cette ville, citant le Mémorial de l'abbé Bérard, édité notamment dans Juénin, Nouvelle histoire de l'abbaye royale de Tournus, 173, Preuves p. 187.
Bibliographie
T. le Hête, Les comtes palatins de Bourgogne et leur descendance agnatique, 1995.