Le sujet de Guillaume Bernard est aujourd’hui de la plus haute importance, car il impacte divers aspects de la vie quotidienne. Tout au long de l'histoire, Guillaume Bernard a fait l'objet de débats et d'études, puisque son influence s'étend à différents domaines, de la politique à la culture. Dans cet article, nous approfondirons l'importance de Guillaume Bernard, son évolution au fil du temps et sa pertinence dans la société actuelle. Nous analyserons son impact dans différents contextes et comment il a façonné la façon dont nous interagissons avec le monde qui nous entoure. De plus, nous explorerons les implications futures possibles de Guillaume Bernard et comment sa compréhension peut contribuer au développement de la société.
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Association des amis de Guy Augé (d) |
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La guerre à droite aura bien lieu (d) |
Guillaume Bernard, né le , est un historien du droit et politologue français, spécialiste de l'histoire des institutions françaises et des idées politiques et juridiques (en particulier de la philosophie pénale). Depuis 2010, il est enseignant (habilité à diriger des recherches) à l'Institut catholique de Vendée (ICES).
Après des études de droit, Guillaume Bernard se spécialise en histoire du droit et des institutions sous la direction d'Hubert Guillotel[1]. Il a complété sa formation par des études de philosophie.
Docteur et habilité à diriger des recherches (HDR), il est enseignant à l'Institut catholique d'études supérieures. Il enseigne ou a enseigné dans divers autres établissements comme l'Institut d'études politiques, l'Institut catholique de Paris[1] ou la Faculté libre de droit, d'économie et de gestion[2].
Entre autres activités scientifiques, il est membre de l'Association internationale pour l'histoire de l'État et de l'administration (instance permanente du Comité international des sciences historiques).
Ses publications scientifiques portent sur l'histoire des institutions (articulation du spirituel et du temporel, histoire de la justice et de la sanction pénale), de la philosophie juridique (légitimité politique, droit naturel classique) et de la sociologie politique (clivage droite-gauche, évolution des catholiques)[1]. Au tournant des années 2010, il étudie et théorise ce qu'il nomme le mouvement dextrogyre, en opposition au mouvement sinistrogyre qui se développa à partir de la Révolution française[3].
Il prononce fréquemment des conférences destinées au grand public ou dans le cadre de formations plus spécialisées : il donne, par exemple, un cours sur les « valeurs de la droite » à l'Institut de formation politique[4].
Il intervient régulièrement dans les médias écrits et audio-visuels français et étrangers. Il est notamment chroniqueur régulier dans l'émission « Points de vue » du Figaro Live.
Il ne cache pas ses positions « pro-vie » (participation au forum One of us, participation à la marche pour la Vie de ) et morales en matière de mœurs et de bioéthique. En 2013, par exemple, il cosigne, avec plus de 150 autres juristes (enseignants-chercheurs et praticiens), une lettre ouverte aux membres du Sénat pour s'opposer au mariage homosexuel et à ses conséquences quant à l'adoption des enfants mineurs[5].
Plus récemment, il a été l'une des chevilles ouvrières de l'« appel d'Angers pour l'unité de la droite », publié le , dans l'hebdomadaire Valeurs actuelles, à la suite d'un débat public organisé, à Angers, le , à l'invitation du Cercle Anjou conférences[6]. Il défend l'idée de l'union des droites lors de ses interventions médiatiques. En 2019, il succède notamment à François de Lacoste Lareymondie en tant que président du laboratoire d'idées « Amitié politique », qui travaille en ce sens[7].
À la suite de l'opération anti-migrant menée par Génération identitaire en , le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a évoqué la possible dissolution du groupe[8]. Guillaume Bernard a signé une pétition impulsée par des militants d'extrême droite qui s'opposent à la dissolution[9].