Dans cet article, nous explorerons le sujet de Guido Crepax, qui suscite un intérêt croissant dans différents domaines de la société. Guido Crepax est un sujet qui a suscité débat et réflexion et aborde des questions fondamentales qui ont un impact direct sur la vie des gens. Tout au long de cet article, nous explorerons différentes perspectives et approches liées à Guido Crepax, afin d'offrir une vision large et complète sur ce sujet. A travers l’analyse d’études, de témoignages et de données pertinentes, nous souhaitons faire la lumière sur ce sujet et contribuer à l’enrichissement des connaissances sur Guido Crepax.
Guido Crepax, pseudonyme de Guido Crepas, né le à Milan et mort dans la même ville le , est un auteur de bande dessinéeitalien.
Il a profondément influencé la bande dessinée européenne de la seconde moitié du XXe siècle.
Il est surtout connu pour son personnage de Valentina, créé en 1965 dans le contexte des années 1960, caractérisé par un dessin sophistiqué et une trame de récit psychédélique et onirique, avec une forte dose d'érotisme.
Biographie
Diplômé en architecture à l'université de Milan, Guido Crepax se lance dans la bande dessinée en 1959 dans Tempo Medico. En 1965, il participe à la toute nouvelle revue Linus, où il publie Neutron, une histoire de science-fiction, dans laquelle on voit déjà apparaître le personnage de Valentina, au physique inspiré de Louise Brooks[1].
Paul Gravett (dir.), « De 1970 à 1989 : Justine, de Guido Crepax », dans Les 1001 BD qu'il faut avoir lues dans sa vie, Flammarion, (ISBN2081277735), p. 404.
Vincent Bernière, « Guido Crepax : Histoire d'O », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 92-93.
Vincent Bernière, « Guido Crepax : La leçon d'homme », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 112-113.
Vincent Bernière, « Guido Crepax : Marianne à la campagne », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 136-137.