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Président de la République | Prokópis Pavlópoulos |
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Première ministre | Vassilikí Thánou-Christophílou |
Formation | |
Fin | |
Durée | 26 jours |
Ministres | 12 |
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Femmes | 1 |
Hommes | 11 |
Le gouvernement Thánou-Christophílou (en grec moderne : Υπηρεσιακή κυβέρνηση Βασιλικής Θάνου) est le gouvernement de la République hellénique entre le et le , institué à la suite de la dissolution de la XVIe législature du Parlement.
Dirigé par la nouvelle Première ministre transitoire Vassilikí Thánou-Christophílou, première femme à exercer cette responsabilité, également présidente de la Cour de cassation, ce gouvernement ne dispose d'aucun soutien parlementaire puisque sa nomination fait suite à l'impossibilité de constituer une majorité au sein du Parlement grec.
Le , le Premier ministre issu de la gauche radicale Aléxis Tsípras remet sa démission au président de la République Prokópis Pavlópoulos, six jours après avoir une scission de son parti SYRIZA ayant entraîné la perte de sa majorité au Parlement lors d'un vote sur l'accord passé avec les autres États de l'Union européenne au sujet de mesures d'austérité budgétaire.
Conformément à la Constitution, le chef de l'État demande alors à Tsípras, puis au président par intérim de la Nouvelle Démocratie (ND) Evángelos Meïmarákis et enfin au dirigeant d'Unité populaire (LAE) Panayiótis Lafazánis — en leur qualité de représentant des trois plus importants groupes parlementaires — de tenter de constituer un nouvel exécutif. Aucun n'y parvenant, Prokópis Pavlópoulos dissout l'assemblée et charge Vassilikí Thánou-Christophílou, qui dispose de la plus grande ancienneté parmi les présidents des trois hautes cours du pays, de mettre en place un cabinet transitoire jusqu'à la tenue du scrutin. L'assermentation a lieu le [1],[2].
Les élections législatives du 20 septembre 2015 sont marquées par une nouvelle victoire de SYRIZA, qui rate de six sièges la majorité absolue. Aléxis Tsípras, appelé à former le nouveau gouvernement, se met d'accord avec les Grecs indépendants (ANEL) de Pános Kamménos pour rétablir leur coalition. Le , le gouvernement Tsípras II est assermenté.