Geneviève Guilbault

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Geneviève Guilbault
Illustration.
Geneviève Guilbault en 2023.
Fonctions
Ministre des Transports et de la Mobilité durable
En fonction depuis le
(2 ans, 5 mois et 30 jours)
Premier ministre François Legault
Gouvernement Legault
Législature 43e
Prédécesseur François Bonnardel
Vice-première ministre du Québec
En fonction depuis le
(6 ans, 6 mois et 1 jour)
Premier ministre François Legault
Gouvernement Legault
Législature 42e et 43e
Groupe politique Coalition avenir Québec
Prédécesseur Dominique Anglade
Députée à l'Assemblée nationale du Québec
En fonction depuis le
(7 ans, 6 mois et 17 jours)
Élection 2 octobre 2017 (partielle)
Réélection 1er octobre 2018
3 octobre 2022
Circonscription Louis-Hébert
Législature 41e, 42e et 43e
Groupe politique Coalition avenir Québec
Prédécesseur Sam Hamad
Ministre de la Sécurité publique

(4 ans et 2 jours)
Premier ministre François Legault
Gouvernement Legault
Législature 42e
Groupe politique Coalition avenir Québec
Prédécesseur Martin Coiteux
Successeur François Bonnardel
Ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale

(4 ans et 2 jours)
Premier ministre François Legault
Gouvernement Legault
Législature 42e
Groupe politique Coalition avenir Québec
Prédécesseur Sébastien Proulx
Successeur Jonatan Julien
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Greenfield Park (Québec, Canada)
Nationalité Canadienne
Parti politique Coalition avenir Québec
Diplômée de Université Laval
Cégep de Sainte-Foy
Profession Conseillère en communication

Geneviève Guilbault, née le à Greenfield Park, est une conseillère en communication et femme politique québécoise. Depuis 2018, elle est vice-première ministre du Québec.

Elle est élue députée de Louis-Hébert à l'Assemblée nationale du Québec sous la bannière de la Coalition avenir Québec lors de l'élection partielle du 2 octobre 2017.

De 2018 à 2022, elle est ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la Capitale-Nationale au sein du gouvernement de François Legault.

Depuis le , elle est ministre des Transports et de la Mobilité durable.

Biographie

Formation

Née le à Greenfield Park, aujourd'hui un arrondissement de Longueuil, Geneviève Guilbault étudie en communication publique à l'Université Laval d'où elle obtient un baccalauréat en 2006 et une maîtrise en 2011[1].

De 2006 à 2008, elle est attachée de presse adjointe de Jacques Dupuis, alors ministre de la Sécurité publique du Québec[2]. Elle exerce ensuite auprès du Conseil du trésor du Québec et du ministère de la Sécurité publique du Québec.

En 2009, elle devient directrice des communications du Bureau du coroner du Québec[1]. Elle agit comme porte-parole durant l'accident ferroviaire de Lac-Mégantic, de l'incendie majeur de la Résidence du Havre à L'Isle-Verte et de la fusillade à la grande mosquée de Québec[3].

Carrière politique

41e législature : étoile montante

Sam Hamad quitte la politique en , laissant son siège de député vacant de la circonscription de Louis-Hébert, château fort libéral. La Coalition avenir Québec choisit d'abord le banquier Normand Sauvageau pour représenter le parti, mais à la suite de révélations, elle remercie le candidat et se tourne vers Geneviève Guilbault. Celle-ci se préparait à devenir candidate pour la circonscription de Charlesbourg aux prochaines élections générales. Étant résidente de Louis-Hébert, elle est alors approchée pour devenir la nouvelle candidate. Le principal thème de sa campagne électorale est l'intégrité[4].

Elle est élue députée de Louis-Hébert à l'Assemblée nationale du Québec lors de l'élection partielle du 2 octobre 2017 sous la bannière de la Coalition avenir Québec[1]. Elle remporte l'élection avec 51 % des voix, loin devant ses adversaires. François Legault la qualifie alors de « nouvelle étoile de la politique » et voit cette victoire comme la prémisse de celle des élections générales de 2018[5].

Elle est assermentée le et se voit confier le mandat de porte-parole du deuxième groupe d’opposition en matière de famille[1]. Le lendemain, elle intègre la Commission des relations avec les citoyens[1]. Le , elle devient membre de trois délégations de l'Assemblée nationale entretenant des relations avec des parlements étrangers au Maroc, en Bavière et en Louisiane[1]. Le , elle donne naissance à sa fille Capucine et prend du repos durant l'hiver[6].

À l'approche des élections générales de 2018, Guilbault est déjà pressentie pour devenir vice-première ministre advenant une victoire du parti. Érigée en tant que porte-parole caquiste en Capitale-Nationale, elle dirige la presque totalité des points de presse organisés avec des candidats de la région durant la campagne électorale[7].

42e législature : vice-première ministre et ministre de la Sécurité publique

Elle est réélue avec 44,6 % des voix, devenant l'une des 74 députés de la Coalition avenir Québec sur les 125 sièges de l'Assemblée nationale. Elle est assermentée le . Elle entre au sein du Conseil exécutif du Québec en étant nommée ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale[1]. François Legault en fait son bras-droit en la choisissant comme vice-première ministre du Québec.

Parmi ses premiers dossiers en tant que ministre de la Sécurité publique, elle doit gérer les inondations printanières de 2019[8]. En , elle doit présenter des excuses après avoir dénigré du personnel de son cabinet. L'événement incite l'opposition officielle à réclamer sa démission comme ministre[9]. Le , elle accouche de son fils Christophe, son deuxième enfant depuis son entrée à l'Assemblée nationale, et évoque l'idée d'un congé parental pour les parlementaires[10]. À la suite d'une hausse remarquée de fusillades dans la région métropolitaine de Montréal en 2021, elle annonce préparer un plan « sans précédent »[11]. Le , elle annonce le début de l'opération Centaure, impliquant plusieurs corps policiers québécois et partenaires frontaliers, dans la lutte au trafic d'armes en particulier au Suroît[12].

Du au , elle est nommée suppléante de Nadine Girault, ministre des Relations internationales et de la Francophonie, qui doit s'absenter en raison d'une convalescence[13]. Elle occupe à nouveau temporairement cette fonction du au , toujours pour le même motif[14]. En , un sondage mené par la firme Léger révèle que 56 % de la population aurait une bonne opinion à son égard et qu'elle serait la ministre la plus appréciée du gouvernement[15].

À titre de ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, elle est parfois critiquée pour ne pas respecter l'autonomie du palier municipal[16]. Son mandat est marqué entre autres par une dichotomie entre la vision régionale de son gouvernement, défendant la construction d'un nouveau lien autoroutier interrégional, et celle de la mairie de Québec avec sa vision plus urbaine axée sur la densification[17]. En , Claude Villeneuve, le chef de l'opposition de la Ville de Québec, affirme qu'elle est « la pire ministre de la Capitale-Nationale qu’on a eue »[18]. Elle est « largement perçue comme la porte-parole du gouvernement dans la capitale plutôt que l’inverse », affirme le chroniqueur Michel David[19]. Elle marque ainsi une certaine rupture avec les ministres précédents en gardant une plus grande indépendance vis-à-vis la ville de Québec et en orientant sa démarche sur toute la communauté métropolitaine, en incluant Lévis qui sur papier ne fait pas partie de la Capitale-Nationale[16],[20].

À la veille de la 43e législature, elle signale son intention au premier ministre de ne pas vouloir être affecté de nouveau au ministère de la Sécurité publique, ni comme ministre régionale de la Capitale-Nationale[21].

43e législature

Le , sa demande est exaucée, elle se voit attribuer la responsabilité de ministre des Transports et de la Mobilité durable. François Bonnardel la remplace comme ministre de la Sécurité publique et Jonatan Julien comme ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale[22]. Son mandat est marqué par plusieurs controverses.

En , elle présente ses excuses après avoir été vue sans ceinture de sécurité dans plusieurs publications sur les réseaux sociaux. La ministre affirme qu'il s'agissait d'oublis, mais des experts soulignent qu'elle devrait donner l'exemple en tant que responsable du Code de la sécurité routière[23].

En , elle est impliquée dans une controverse après qu'un couple endeuillé déclare avoir payé pour la rencontrer à un cocktail de financement de la Coalition avenir Québec. À la suite de la médiatisation de l'affaire, la formation politique rembourse les parents, mais l'épisode soulève des questions sur les pratiques de financement du parti[24].

Le , dans le cadre de ses fonctions comme ministre des Transports et de la Mobilité durable, elle sème la controverse en annonçant que la gestion du transport collectif et des sociétés de transport n'est pas une mission de l'État québécois[25].

Dossier de la traverse Rivière-du-Loup-Saint-Siméon

Le , Geneviève Guilbault, accompagnée de la PDG de la Société des traversiers du Québec (STQ), Greta Bédard, et d'Amélie Dionne, députée de la Coalition avenir Québec dans la circonscription de Rivière-du-Loup–Témiscouata annonce à Rivière-du-Loup que, dès 2028, la traverse Rivière-du-Loup-Saint-Siméon déménagera du quai de Rivière-du-Loup vers le quai de Gros-Cacouna, situé à 10 minutes, en voiture, vers l'est. La Société des traversiers du Québec a pris cette décision, car le navire qui fait l'actuel traverse, le N.M. Trans-Saint-Laurent, construit en 1963, est arrivé à sa fin de vie et la société d'État souhaite donc le remplacer par le navire de réserve du N.M. F.-A.-Gauthier, le N.M. Saaremaa I, acquis en 2019 lors de la saga des traversiers afin de remplacer le N.M. Apollo, navire acquis en urgence qui, après 17 jours et deux accidents aux quais de Baie-Comeau et de Matane, a été mis hors service. Cette décision sème la controverse à la ville de Rivière-du-Loup, à la MRC de Rivière-du-Loup ainsi que dans la communauté des affaires de la région. La décision prise par le ministère des Transports et de la Mobilité durable est faite par rapport aux coûts : adapter le quai de Rivière-du-Loup pour le N.M. Saaremaa I aurait été de 650 M $ alors que le déménagement à Gros-Cacouna et la construction des installations est estimé à 150 M $ en plus de pouvoir assurer la traverse à l'année longue. Cependant, le N.M. Saaremaa I restera le navire de relève au N.M. F.-A.-Gauthier à la traverse Matane–Baie-Comeau–Godbout lors de ses arrêts techniques ou tout autres problèmes ce sera le N.M. Félix-Antoine-Savard qui servira comme navire de relève, navire habituellement utilisé pour de petites traverses comme la traverse de l'Isle-aux-Coudres–Saint-Joseph-de-la-Rive ou encore entre Tadoussac et Baie-Saint-Catherine[26].

Le maire de Rivière-du-Loup, Mario Bastille, annonce en , avec l'appui du député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, le dépôt d'un projet de loi d'intérêt privé dans le but d'obliger le ministère et la STQ à publier le rapport : « On nous a lancé des chiffres, mais trop peu de données à l’appui de leur argumentaire, comme si la décision avait été prise sur le coin d’une table. Les gens de Rivière-du-Loup méritent plus de respect; il est nécessaire d’obtenir la vérité sur cette catastrophe annoncée. » déclare le maire lors de sa décision de faire valoir le point de vue de la ville et la volonté de cette dernière face au sort réservé à sa traverse[27].

Le , lors d'une conférence de presse à Saint-Pascal, la ministre déclare que « quelques personnes continuent de s'objecter » au déménagement de la traverse, ce qui provoque de nouvelles réactions. Le maire de Rivière-du-Loup qualifie ses propos d'« inacceptables » et exige des excuses, dénonçant une attitude jugée condescendante envers les citoyens et les acteurs économiques de la région. Il affirme également que le premier ministre François Legault lui aurait personnellement garanti, lors d'une rencontre en , que la décision concernant l'avenir de la traverse serait politique, qu'elle relèverait de lui, et que le service demeurerait à Rivière-du-Loup[28]. La Chambre de commerce de la MRC de Rivière-du-Loup rappelle qu'une pétition contre le projet a recueilli plus de 8 000 signatures et qu'une mobilisation régionale soutenue s'est formée au fil des années. Une plateforme web, quelquespersonnes.com, est même mise en ligne pour protester contre les propos de la ministre. Des élus de différents horizons, dont le député Bérubé et le candidat libéral Rémi Massé, s'indignent également des déclarations de la ministre, qu'ils jugent déconnectées des préoccupations locales[28],[29].

Dossier SAAQclic

En , elle est critiquée pour ne pas avoir publié dans les délais prescrits le rapport de gestion 2023 de la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ). L'Assemblée nationale mandate une commission pour enquêter sur cette omission[30], et la présidente de l'Assemblée nationale statue qu'il s'agit d'un outrage au Parlement[31]. La SAAQ présente alors des excuses publiques, reconnaissant que l'implantation chaotique du système SAAQclic a entraîné d'importants retards et un déficit de 122 millions $, tout en admettant que la fiabilité des données financières demeure incertaine en raison d'un manque de suivi des transactions[32].

Dans le cadre de la mise en place de SAAQclic, la ministre Guilbault a été directement impliquée dans la gestion de la crise. Elle affirme avoir été proactive dès son arrivée à la tête du ministère des Transports, rencontrant régulièrement la direction de la SAAQ et tenant des réunions en ligne sept jours sur sept pour gérer les problèmes liés au déploiement de la plateforme. Elle indique même avoir rédigé elle-même certaines publications sur les réseaux sociaux de la SAAQ en raison des problèmes de communication rencontrés par la société d'État[33].

Le projet SAAQclic a été marqué par d’importants dépassements de coûts et des retards significatifs. La vérificatrice générale du Québec a révélé que des informations erronées ou incomplètes avaient été transmises aux autorités gouvernementales sur l’état d’avancement du projet. Selon le député libéral Monsef Derraji, Geneviève Guilbault aurait été informée dès des risques associés au déploiement, bien avant la crise survenue en 2023. Toutefois, la ministre affirme que son gouvernement a été trompé par des informations incorrectes concernant l’état du projet[33].

En , dans un contexte où l’opposition réclame des démissions au sein du gouvernement, Geneviève Guilbault saisit l’Unité permanente anticorruption (UPAC) en demandant une enquête sur les éléments soulevés par la vérificatrice générale, notamment des conflits d’intérêts, des manipulations d’informations stratégiques et un fractionnement des contrats qui aurait permis de masquer un dépassement de coût de 222 millions $ identifié dès . Parallèlement, la présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel, sollicite l’intervention de l’Autorité des marchés publics pour examiner l’attribution et l’exécution du contrat de SAAQclic. L’opposition exige quant à elle la divulgation des procès-verbaux de la SAAQ et la tenue d’une commission d’enquête publique[34].

Toujours en , elle déclare en entrevue que le temps passé par les élus en commission parlementaire est excessif et remet en question leur efficacité. Ses propos sont jugés « méprisants » par l'opposition, qui l'appelle à faire preuve de plus d'humilité[35].

Résultats électoraux

Élection générale québécoise de 2022 dans Louis-Hébert [36]
Nom Parti Nombre
de voix
% Maj.
     Geneviève Guilbault (sortante) Coalition avenir 17 803 47,2 % 11 575
     Victor Dubuc Parti québécois 6 228 16,5 % -
     Marika Robitaille Conservateur 5 509 14,6 % -
     Steven Lachance Québec solidaire 4 537 12 % -
     Dominic Cardinal Libéral 3 283 8,7 % -
     Daydree Vendette Vert 285 0,8 % -
     Jean-Pierre Hamel Démocratie directe 33 0,1 % -
     Yolaine Brochu Équipe autonomiste 32 0,1 % -
Total 37 710 100 %  
Le taux de participation lors de l'élection était de 81,1 % et 310 bulletins ont été rejetés.

Élection générale québécoise de 2018 dans Louis-Hébert [37]
Nom Parti Nombre
de voix
% Maj.
     Geneviève Guilbault (sortante) Coalition avenir 16 248 44,6 % 6 548
     Julie-Maude Perron Libéral 9 700 26,6 % -
     Normand Beauregard Parti québécois 4 529 12,4 % -
     Guillaume Boivin Québec solidaire 4 030 11,1 % -
     Natalie Bjerke Conservateur 841 2,3 % -
     Daydree Vendette Vert 550 1,5 % -
     Caroline Côté NPD Québec 276 0,8 % -
     Vincent Bégin Indépendant 244 0,7 % -
     Jean-Luc Rouckout Équipe autonomiste 22 0,1 % -
Total 36 440 100 %  
Le taux de participation lors de l'élection était de 80,5 % et 456 bulletins ont été rejetés.

Élection partielle québécoise de 2017 dans Louis-Hébert
Nom Parti Nombre
de voix
% Maj.
     Geneviève Guilbault Coalition avenir 12 091 51 % 7 658
     Ihssane El Ghernati Libéral 4 433 18,7 % -
     Normand Beauregard Parti québécois 3 852 16,3 % -
     Guillaume Boivin Québec solidaire 1 235 5,2 % -
     Sylvie Asselin Conservateur 976 4,1 % -
     Alex Tyrrell Vert 487 2,1 % -
     Denis Blanchette NPD Québec 319 1,3 % -
     Vincent Bégin Indépendant 215 0,9 % -
     Martin St-Louis Option nationale 61 0,3 % -
     Jean-Luc Rouckout Équipe autonomiste 18 0,1 % -
Total 23 687 100 %  
Le taux de participation lors de l'élection était de 52,4 % et 190 bulletins ont été rejetés.

Références

  1. a b c d e f et g « Geneviève Guilbault - Assemblée nationale du Québec », sur www.assnat.qc.ca (consulté le )
  2. Geneviève Guilbault sera candidate de la CAQ dans Louis-Hébert
  3. La CAQ officialise la candidature de Geneviève Guilbault dans Louis-Hébert
  4. Jean-Frédéric Moreau, « Louis-Hébert: une candidate de «l'intégrité» pour la CAQ », sur Le Soleil, (consulté le )
  5. Ian Bussières, « Legault salue la «nouvelle étoile de la politique» », sur Le Soleil, (consulté le )
  6. Patricia Cloutier, « Geneviève Guilbault donne naissance à une fille », sur Le Droit, (consulté le )
  7. Karine Gagnon, « Un grand rôle pour Guilbault », sur Le Journal de Montréal, (consulté le )
  8. Caroline Plante et Marc-André Gagnon, « Inondations: Québec obtient l’intervention de l’armée », sur Le Journal de Québec, (consulté le )
  9. Caroline Plante et Patrice Bergeron, « Geneviève Guilbault présente ses excuses », sur Le Soleil, (consulté le )
  10. Mylène Crête, « Geneviève Guilbault maman une deuxième fois », sur Le Devoir, (consulté le )
  11. Radio-Canada, « Armes à feu : Québec promet une annonce « sans précédent » vendredi », sur Radio-Canada, (consulté le )
  12. Jean-François Thériault, « « C’est assez » : Québec dote les policiers des moyens de combattre le trafic d’armes », sur Le Soleil, (consulté le )
  13. Nadine Girault cesse temporairement ses activités en raison d'une blessure au dos
  14. « La ministre Nadine Girault en convalescence », sur Le Journal de Québec (consulté le ).
  15. « Sondage Léger: le baromètre des ministres les plus populaires de la CAQ », Le Journal de Montréal,‎ (lire en ligne)
  16. a et b Louise Boisvert, « Geneviève Guilbault outrepasse-t-elle son rôle de ministre de la Capitale-Nationale? », Radio-Canada,‎ (lire en ligne)
  17. Philippe Léger, « La véritable opposition à François Legault », Le Journal de Québec,‎ (lire en ligne)
  18. François Bourque, « Geneviève Guilbault, la pire ministre de la capitale? », Le Soleil,‎ (lire en ligne)
  19. Michel David, « Le nouveau rapport de force », Le Devoir,‎ (lire en ligne)
  20. Marc-André Gagnon, « Fini la guerre entre Québec et Lévis, se réjouit Guilbault », Le Journal de Québec,‎ (lire en ligne)
  21. Olivier Bossé et Émilie Pelletier, « Guilbault a demandé de ne plus être ministre de la Capitale-Nationale », Le Soleil,‎ (lire en ligne)
  22. James-Patrick Cannon, « Qui sont les 30 ministres du Cabinet Legault? », sur Radio-Canada.ca, (consulté le )
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  24. Jérôme Labbé, « Le couple endeuillé qui a payé pour rencontrer Geneviève Guilbault dit avoir été remboursé » Accès libre, sur Radio-Canada, (consulté le )
  25. Henri Ouellette-Vézina et Gabriel Béland, « Geneviève Guilbault et transport collectif: « On revient au Temps d’une paix », lance Bruno Marchand », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. Édouard Beaudoin, « Rivière-du-Loup perdra la traverse au profit de Cacouna » Accès libre, sur Radio-Canada, (consulté le )
  27. Marc-Antoine Paquin, « Traverse : Rivière-du-Loup veut les données et la réalisation d’une contre-expertise » Accès libre, sur infodimanche.com, (consulté le )
  28. a et b Ariane Boyer, « Des propos « condescendants » de Geneviève Guilbault ravivent la colère à Rivière-du-Loup » Accès libre, sur TVA CIMT CHAU, (consulté le )
  29. Par Alyson Théberge, « Déménagement de la traverse : «quelques personnes» sont en furie » Accès libre, sur infodimanche.com,
  30. Jérôme Labbé, « Geneviève Guilbault fera l’objet d’une enquête parlementaire », sur Radio-Canada, (consulté le )
  31. Charles Lecavalier, « Assemblée nationale: Geneviève Guilbault réprimandée par la présidente », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. Caroline Plante, « La SAAQ se dit «sincèrement désolée» », sur Le Devoir, (consulté le )
  33. a et b [vidéo] « Fiasco SAAQclic: la ministre Guilbault a rédigé elle-même les «tweets» de la société d’État »Geneviève Lajoie, (consulté le )
  34. Caroline Plante, La Presse Canadienne, « Fiasco SAAQclic: la CAQ rejette la faute aux gouvernements passés », sur Le Nouvelliste, (consulté le )
  35. François Carabin, « Geneviève Guilbault fustigée pour ses propos «méprisants» sur le travail parlementaire », sur Le Devoir, (consulté le )
  36. DGEQ, « Résultats élections Québec 2022 », sur electionsquebec.qc.ca (consulté le )
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Liens externes