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La garde-robe peut être un meuble pour ranger les vêtements, un endroit où l'on se change et entrepose ses vêtements, l'ensemble des vêtements que quelqu'un possède ou des toilettes (acception tombée en désuétude).
La « garde-robe » ou par faux-anglicisme le dressing ou le dressing room (la chambre d'habillage), est une antichambre située à proximité immédiate de la chambre à coucher, une petite pièce spécialement aménagée pour y ranger les vêtements dans des étagères, armoires, penderies ou tiroirs. Le plus souvent, le mobilier est un ouvrage de menuiserie plus ou moins adapté aux mesures de la pièce. En russe, le mot « garde-robe » désigne le vestiaire d'un théâtre ou d'un musée, réservé au public.
Au XXIe siècle, le dressing, ou walk-in, entre également dans la composition de la suite parentale, il constitue alors souvent la pièce intermédiaire, généralement aveugle, située entre la chambre à coucher des parents et leur salle de bain privative.
Au Moyen Âge, garde-robe désignait une pièce où se trouvait la chaise percée.
Encore au XIXe siècle, on désignait par « garde-robe » les toilettes[1]. On distinguait :
Le « piston de garde-robe » désignait quant à lui une masse de cuivre cylindrique sur laquelle est montée une tige coudée pour la lever, et qui sert à fermer hermétiquement l'orifice ou ouverture par où se vide une cuvette à l'anglaise; Le « robinet de garde-robe », un robinet de cuivre, composé d'un boisseau avec bride, d'une clef avec tige et sa poignée. Il sert à conduire l'eau dans la cuvette pour la nettoyer[1].
L'expression « aller à la garde-robe » se disait pour « aller à la selle »[2] :
« Comme elles se sentent d'autant plus à l'aise et que le corset tient d'autant mieux en place que le ventre est plus libre; et que, d'autre part, leur tournure est plus élégante dans ce dernier cas, elles s'habituent à se donner la peine d'aller à la garde-robe tous les jours[3]. »