Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Film historique, en explorant ses origines, sa pertinence dans la société actuelle et son impact sur différents domaines de la vie. Film historique a fait l'objet d'intérêt et de débats tout au long de l'histoire, motivant les philosophes, les scientifiques, les artistes et les personnes de tous horizons à approfondir sa signification et ses répercussions. A travers une analyse détaillée, nous examinerons les aspects les plus pertinents de Film historique, depuis ses premières manifestations jusqu'à sa présence aujourd'hui, dans le but de fournir une vision complète et enrichissante de ce sujet diversifié et passionnant.
L'historien Robert A. Rosenstone propose une définition du film historique :
« Le film historique ne remplace ni ne complète l'histoire écrite. Il reste adjacent à l'histoire écrite, comme la tradition orale et la mémoire. La différence entre cette pratique et la pratique historique écrite est si grande qu'elle justifierait peut-être qu'on la rebaptise. Comment pourrions-nous l'appeler ? Histoire poétique ? Histoire dramatique ? Histoire expressive ? Histoire cinématique ? »
1) Le film montre un progrès : il retrace des évènements historiques généralement d'un début malheureux vers une fin heureuse. Ainsi, le spectateur est rassuré de ne pas avoir vécu les faits auxquels il vient d'assister.
3) « L'histoire est un passé fermé, terminé et linéaire. Il ne propose pas d'alternative à ce que nous voyons sur l'écran. » Le film devient un nouveau donné historique, au même titre que les essais sur ce thème sont eux-aussi un prisme, pour l'événement historique raconté.
4) « Le film historique donne une dimension émotionnelle, personnalise et dramatise l'évènement. » Sont utilisés : des gros plans, des musiques poignantes.
5) Le film « donne une image du passé (paysages, objets, etc) si "réel" que nous risquons de manquer l'impact qu'il peut avoir sur notre sens de l'histoire. »
6) Le film présente l'histoire comme un processus et offre une vision globale des faits. Il n'y a pas d'abord un chapitre sur l'économie puis sur la politique, etc.