Cet article est une ébauche concernant un peintre italien.
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Federico ZandomeneghiPortrait présumé de Federico Zandomeneghi,Naissance |
2 juin 1841 Venise |
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Décès |
31 décembre 1917 (à 76 ans) 18e arrondissement de Paris |
Nationalité | italienne (17 mars 1861 - 31 décembre 1917) |
Activité | Peintre |
Formation | Académie des beaux-arts de Brera |
Lieux de travail | Florence (1862-1866), Venise (jusqu'en 1864), Paris (1874-1917), Castiglioncello |
Mouvement | Impressionnisme |
Influencé par | Giuseppe Garibaldi |
Père | Pietro Zandomeneghi (en) |
Parentèle | Luigi Zandomeneghi (d) |
Federico Zandomeneghi, né le 2 juin 1841 à Venise et mort le 30 décembre 1917 à Paris, est un peintre impressionniste italien.
Federico Zandomeneghi, dont le père et grand-père étaient des sculpteurs reconnus, est né à Venise; il s'inscrit à l'Académie de Venise en 1856. Partisan du leader Garibaldi, il s'engage en 1860 aux côtés de celui-ci, en participant à la campagne de Sicile, puis, il s'installe à Florence où il rencontre un certain nombre d'artistes connus sous le nom de Macchiaioli (Telemaco Signorini, Giovanni Fattori et Giuseppe Abbati). Il se joint à eux dans la peinture de paysages sur le motif. Peindre à l'extérieur de l'atelier, « en plein air », est, à ce moment-là, en Italie, une approche assez novatrice, afin d'apporter vivacité et spontanéité dans le rendu de la lumière.
En 1874, Zandomeneghi se rend à Paris — où il va passer le reste de sa vie — et y fait la connaissance des impressionnistes qui viennent de faire leur première exposition de groupe. Zandomeneghi, dont le style de peinture est similaire au leur, participera à quatre de leurs expositions (1879, 1880, 1881 et 1886). Il est ami d'Edgar Degas. Pour compléter les maigres revenus perçus de la vente de ses tableaux, il trouve du travail dans l'illustration de magazines de mode.
Au début des années 1890, il se lance dans le pastel, où il devient particulièrement habile. Le marchand d'art Durand-Ruel présente ses tableaux aux États-Unis; dès lors sa renommée, et la cession de ses droits à Durand-Ruel lui permettent de bénéficier d'une certaine aisance, jusqu'à sa mort à Paris en 1917.