De nos jours, Eulophe koklass est un sujet qui a retenu l'attention d'un grand nombre de personnes à travers le monde. Grâce à sa pertinence dans la société actuelle, Eulophe koklass est devenu un point d'intérêt pour ceux qui cherchent à mieux comprendre son impact sur la vie quotidienne. Que ce soit sur le plan personnel, professionnel, politique ou culturel, Eulophe koklass a réussi à générer un grand nombre d'opinions et de débats autour de son importance. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects liés à Eulophe koklass, de son origine jusqu'à ses conséquences possibles dans le futur. À travers une analyse approfondie et réfléchie, nous tenterons de faire la lumière sur ce sujet si complexe et d’actualité aujourd’hui.
Pucrasia macrolopha
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Sous-embr. | Vertebrata |
Classe | Aves |
Ordre | Galliformes |
Famille | Phasianidae |
Statut CITES
L’Eulophe koklass (Pucrasia macrolopha) est une espèce d’oiseaux de la famille des Phasianidae, la seule du genre Pucrasia.
Les termes koklass et pucrasia sont tous deux d'origine onomatopée.
Son aire s'étend de l'Himalaya à travers la Chine.
Cet oiseau est représenté par neuf sous-espèces :
L’espèce est inféodée aux forêts de cèdres Cedrus deodara, d’épicéas Picea morinda, de pins Pinus excelsa parsemées de peuplements de chênes Quercus semicarpifolia avec un sous-bois arbustif des genres Berberis, Cotoneaster, Deutzia, Lonicera, Rubus, Spirea, Viburnum.
Son régime alimentaire est fortement dominé par la nourriture végétale (graines et pousses herbacées, glands, baies, bourgeons, feuilles, herbes, fougères, mousses, aiguilles de résineux, racines et tubercules) avec un complément d’insectes.
C’est un faisan difficile à repérer dans la nature et les recherches visuelles en forêt sont inutiles car il reste caché, s’envolant en cas de danger pressant dans une cascade de cris. Il juche dans les arbres (souvent dans des pins) de 6 à 9 m de hauteur.
Vocal et territorial, le mâle émet ses cris sonores de décembre à mai avec un pic en janvier. Cette espèce a été considérée comme monogame depuis les observations des premiers auteurs mais Hennache in Hennache & Ottaviani (2005) s’appuyant sur des constatations en captivité conclut que ce régime de monogamie n’est peut-être pas aussi strict que prévu.
En parade nuptiale, le mâle gonfle les plumes blanches des côtés du cou et dresse verticalement les touffes des plumes auriculaires noires. Puis, il abaisse fortement l’aile du côté de la femelle puis tourne autour d’elle.
Le site typique est le flanc d’une colline couverte de conifères où la femelle installe son nid dans les herbes, souvent au pied d’un épais buisson persistant, d’un fourré de fougères, d’un framboisier et autres épinaies. La ponte régulière est de 5 à 7 œufs dans une fourchette de 4 à 9.
Fuller & Garson (2000) ne considèrent pas cette espèce comme menacée mais mentionnent néanmoins la fragmentation de l’habitat comme menace pour quelques populations.