Dans cet article, nous aborderons le sujet de Elbit Systems sous différents angles et points de vue. Nous analyserons son importance, son impact et sa pertinence aujourd’hui, ainsi que son évolution dans le temps. Nous examinerons les différents avis et positions sur le sujet, dans le but de proposer une vision globale et complète de Elbit Systems. Pour ce faire, nous nous appuierons sur des données, des recherches et des témoignages qui nous permettent d’approfondir nos connaissances et notre compréhension de ce sujet. Avec une approche critique et réflexive, nous explorerons les implications et les conséquences de Elbit Systems dans la société, la culture et le monde en général.
Elbit Systems | |
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Création | |
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Forme juridique | Société anonyme avec appel public à l'épargne et société de capitaux[1] |
Action | NASDAQ (ESLT), bourse de Tel-Aviv (ESLT)[2] et bourse de Tel-Aviv[1] |
Siège social | Haïfa![]() |
Directeurs | Michael Federmann (en) |
Activité | Industrie de l'armement |
Filiales | Tadiran Electronic Systems (d) Tadiran Spectralink (d) |
Effectif | 12 317 () |
Site web | www.elbitsystems.com |
Capitalisation | 29,1 G₪ ()[1] |
Chiffre d'affaires | 3,5 G$ ()[3] |
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Elbit Systems est une entreprise israélienne de l'armement, fondée en 1967 et basée à Haïfa.
Elbit Systems se classait en 2023 au 21e rang mondial pour la production d'armement[4].
Elbit Systems possède l'entreprise brésilienne AEL Sistemas qui intervient dans les domaines des solutions d'ailes fixes et rotatives, de véhicules sans pilote, de solutions de véhicules blindés, de systèmes de communication, du soutien logistique et des systèmes spatiaux et des simulateurs. 25 pour cent de l'entreprise a été acquis par la division de la défense d'Embraer[5]. AEL Sistemas est un fournisseur de l'armée et de la police brésilienne[6].
En , Elbit acquiert les activités de renseignements et de défenses numériques Nice Systems pour 157,9 millions de dollars[7].
En , Elbit Systems annonce l'acquisition pour 523 millions de dollars de IMI Systems, fabricant israélien d'armes légères, notamment du Uzi. IMI Systems était précédemment détenue par l'État d’Israël qui par cette opération, privatise donc cette dernière entreprise d'armement[8].