Le sujet de Eileen Agar a retenu l’attention de nombreuses personnes ces derniers temps. Compte tenu de sa pertinence dans le contexte actuel, il n’est pas surprenant qu’il fasse l’objet de nombreux débats et analyses. L'importance de Eileen Agar s'étend à divers domaines, de la politique à la culture populaire, influençant nos perceptions et nos décisions. Dans cet article, nous explorerons en détail les différents aspects liés à Eileen Agar, en examinant son impact et sa pertinence dans la société moderne. Grâce à une approche globale et critique, nous visons à faire la lumière sur ce sujet et à fournir une compréhension plus profonde de sa signification et de ses implications dans notre vie quotidienne.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalités | |
Formation |
Slade School of Fine Art (jusqu'en ) École d'art Byam Shaw (en) Heathfield School, Ascot (en) |
Activités | |
Période d'activité |
- |
Conjoint |
Joseph Bard (en) |
Membre de | |
---|---|
Mouvement | |
Maîtres |
Henry Tonks, Leon Underwood (en) |
Eileen Agar, née le à Buenos Aires et morte le à Londres, est une artiste peintre et photographe anglaise qui a côtoyé le surréalisme.
En 1911, la famille Agar, père écossais et mère américaine, quittent l'Argentine pour Londres. Eileen s'y inscrit à la Byam Shaw School of Fine Art en 1919, puis à l'Underwood School of Painting and sculpture.
En 1926, elle rencontre l'écrivain hongrois Joseph Bard (en). Ils s'installent à Paris en 1928 et elle fait la connaissance d'André Breton et de Paul Éluard.
En 1936, Eileen Agar participe à l' Exposition surréaliste internationale de Londres où elle présente trois tableaux, dont Quadriga et cinq objets. En 1937, elle fait un séjour à Mougins, avec Paul et Nusch Éluard, Picasso et Dora Maar, Roland Penrose et Lee Miller qui réalise d'elle un portrait[1]. Jusqu'en 1940, elle participe aux expositions surréalistes organisées à Amsterdam, New York, Paris et Tokyo.
Après la Seconde Guerre mondiale et jusqu'en 1985, Eileen Agar connaîtra pas moins de seize expositions monographiques.